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Votre commentaire
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> Jean Glavany |
14 janvier 2013, par Larouture
Pôles métropolitains |
La liste des loupés est impressionnante. Plus que des propositions d’ailleurs.
C’est la première fois que j’entends parler par un élu d’un loupé pour l’hopital. Je me souviens d’une tentative avortée de 1ère année de médecine à Pau dans les années 60 (déjà mentionné sans écho).
La santé, comme l’enseignement et les transports, est une condition essentielle de l’attractivité d’un territoire.
Un territoire (Bassin de l’Adour) aux moyens limités en population et en activités ne devrait-il pas justement être très attentif à la coordination entre les divers projets ?
A défaut de personnalités de premier plan et de projets, ne pourrait-on pas s’attendre à une gestion plus optimisée ? Ce n’est pas le cas ; Mais ces trois conditions sont certainement utopiques. Les propos de M. Glavany le confirmeraient presque.
Mme Lignières-Cassou parle de bassin de vie, M. Mimiague d’archipel. Ce dernier vient de relancer, dans Sud-Ouest du 5/01, l’idée le projet de pôle métropolitain, à l’échelle du Béarn et non du bassin de l’Adour comme déjà avancé par Mme Lignières-Cassou.
Dans ses vœux M. Habib (cf. République de ce jour) parle de l’emploi à l’échelle de sa Communauté des Communes et veut peser entre les pôles de Pau et de Bayonne « qui risquent forcément d’être favorisés ».
Finalement, que pouvait-on espérer de plus de M. Glavany (ou d’un autre) ?
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> Jean Glavany
14 janvier 2013, par Daniel Sango
Toutes ces formes d’organisations territoriales ne sont que des écrans de fumée jetés par nos roitelets qui refusent en fait et avant tout de partager le pouvoir.
Mimiague est vraiment le plus mal placé pour donner des leçons, lui qui prône la COHERENCE territoriale dans le SCoT (Schéma de Cohérence Territorial)dont il a la charge en tant que Président du Pays du Grand Pau et qui refuse de rejoindre le bassin de vie de l’agglo de Pau alors que l’Interco du Luy de Béarn (Dont il est aussi Président) en fait naturellement partie.
Quand, enfin, les citoyens s’intéresseront-ils à ce qui se passe dans leur commune et sanctionneront-ils ces roitelets ?
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> Jean Glavany |
14 janvier 2013, par Oscar du Pont
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Plutôt réaliste et pragmatique je trouve. Un pan sur le bec de ceux qui voient toujours plus verte, la pelouse du voisin, s’agissant de la situation de Tarbes. Et une preuve supplémentaire que le cumul des mandats peut être utile, puisqu’on peut parler à sa voisine sur les bancs de l’ Assemblée pendant des débats ennuyeux.
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> Jean Glavany
14 janvier 2013, par Rêveur des villes
Pour votre information, Oscar, Trémège et Glavany se détestent cordialement, d’où le tableau de Tarbes par Glavany.
Par ailleurs, jamais des sommes énormes ont été dillapidées à Tarbes. Et en matière de gestion de ville, oui l’herbe y est beaucoup plus verte qu’à Pau.
Vous ne mesurez peut-être pas l’impact sur les comptes de la ville du sport pro (basket + rugby + foot + kayak + pelote + sport auto) et de la médiathèque géante à Pau. A votre décharge, peut-être que vous n’en avez pas entendu parler !
> Jean Glavany
14 janvier 2013, par Oscar du Pont
A votre décharge, peut-être que vous n’en avez pas entendu parler !
En effet Rêveur, vous devriez poursuivre votre effort d’information pour que je comprenne bien 
> Jean Glavany
14 janvier 2013, par Rêveur des villes
A moins qu’en fait, vous ne vouliez pas entendre ou soyiez sourd
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> Jean Glavany |
14 janvier 2013, par Daniel Sango
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Quel blabla ! Quelle langue de bois !
Vite, qu’il prenne sa retraite !
La bonne question aurait été :
Monsieur Glavany, depuis trente ans vous occupez des postes politiques de haut niveau, qu’avez vous fait de concret pour un rapprochement entre pau et Tarbes ?
Réponse : Il m’arrive de temps en temps de prendre l’avion à Pau.
Vite qu’il prenne sa retraite !
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> Jean Glavany |
14 janvier 2013, par le coq
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A lire l’article l’ouverture sur un contenu - OUI mais la "boite décisionnaire" n’est pas prête à la fermeture des avenants égoïstes. La mise en place ne peut que venir "du haut" à savoir : une seule grande agglomération avec un "grand maire" référent, un seul préfet, en bref une région semi-autonome par rapport à Bordeaux et Toulouse. Sur le plan économique on peut se tenir par la main car le temps est au gris pour longtemps.Rien d’impossible car le tout compte moins de 250000 habitants ( les trois villes PTL) soit 1/4 de Toulouse et seulement l’équivalent du BAB Basque. Pas de quoi construire un château en Espagne.
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