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> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire |
30 août 2012, par Oscar du Pont
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Je ne reprendrai pas l’argument de BB pour ce qui concerne la relation éventuelle entre la disponibilité de vols low-cost et le développement d’une Université de deuxième niveau..Mais soit.
Par contre la lecture des commentaires de nos analystes habituels laisse pantois. Je connais peu d’endroits en France où il est à ce bon de bon ton, de refuser toute forme d’infrastructure, ou d’investissement public quand il est d’intérêt général au nom d’arguments dont l’étroitesse et la faiblesse sont sidérantes.
Nous avons la chance à Pau d’avoir un aéroport très bien relié, d’abord à Paris , un vol toutes les heures environ, ce qui me parait primordial, mais aussi à Lyon ou d’autres villes françaises grâce à des correspondances bien ajustées. Mesurons les conséquences qu’aurait sa fermeture non pas sur le nombre d’étudiants de l’ UPPA mais sur les cadres de Total, de Turbomeca et plus généralement des entreprises de notre bassin d’emploi. Il est simplement idiot de penser qu’un professionnel qui prend son avion à 6H50 le matin, ne verra aucun inconvénient à aller le prendre à Lourdes. Et pas à Tarbes. A ma connaissance, il n’y a pas d’aéroport à Tarbes. Comptez, avec les nécessaires sécurité, une heure de voyage en plus. La même chose pour rentrer le soir.
Les prix sont trop élevés. Certes. Les entreprises peuvent à bon droit protester. A ceci près, qu’on peut faire sans problème un AR à Paris dans la journée et économiser une nuit d’ hotel, ce que même une hypothétique LGV ne permettra pas de faire décemment. Quant aux seniors, ils bénéficient d’un tarif très acceptable, puisqu’ il s’élève à un peu plus de 100€, pour être à Paris en 1H20.
A condition de s’y prendre avec 40 jours d’avance Air France propose aussi à tous, un tarif de 87€ pour aller à Lyon, 86€ pour aller à Paris .
Oui, certes on pourrait faire mieux avec des low-costs à condition d’aimer les bétaillères volantes. La clientèle de Lourdes est essentiellement une clientèle de charters associée au sanctuaire. Il est normal et logique que son aéroport soit maintenu tant que ce sera possible. Les méthodes utilisées par contre pour le développer artificiellement grâce à l’apport des low-costs sont parfaitement contestables et mériteraient de la part des béarnais plus de critiques que d’auto-flagellations.
La clientèle d’Uzein est une clientèle d’affaires. S’il ne devait un jour rester qu’un seul aéroport dans la grand région, il faudrait bien entendu se battre pour que ce soit le notre au lieu de ratiociner sur des évaluations sans fondement véritable. La tradition aéroportuaire de Pau est ancienne. Elle tient essentiellement aux conditions aérologiques très privilégiées dont nous bénéficions qui nous valent aussi la présence d’unités militaires, dont l’impact sur notre économie locale n’est pas négligeable.
La CCI s’est retrouvée découverte et en première ligne lorsque les coûts marketing de la présence de Ryanair ont été révélés. Il n’y avait pourtant pas de grand secret, Ryanair a les même pratiques partout et il y a des scandales en cours ailleurs, en Allemagne en particulier. De nouvelles obligations de transparence compteble ont obligé la CCI, si je me souviens bien à isoler ces coûts de support "marketing". Il est très regrettable que le département ou l’agglo de Pau n’aient pas cru bon de se saisir du problème , avant que ces habiles maître-chanteurs irlandais aillent proposer leurs services à nos vosins, trop contents de l’aubaine.
Je trouve pathétique de vous voir à peu près tous non seulement vous y résigner, mais encore applaudir ou revendiquer l’inutilité de nos installations et de nos infrastructures pourtant indispensables.
Il n’y a pas d’ Alternatives Tarbaises. je me demande parfois en vous lisant si ce n’est pas une chance..pour la Bigorre.
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> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
30 août 2012, par Rêveur des villes
Mesurons les conséquences qu’aurait sa fermeture non pas sur le nombre d’étudiants de l’ UPPA mais sur les cadres de Total, de Turbomeca et plus généralement des entreprises de notre bassin d’emploi. Il est simplement idiot de penser qu’un professionnel qui prend son avion à 6H50 le matin, ne verra aucun inconvénient à aller le prendre à Lourdes. Et pas à Tarbes. A ma connaissance, il n’y a pas d’aéroport à Tarbes. Comptez, avec les nécessaires sécurité, une heure de voyage en plus. La même chose pour rentrer le soir.
Il n’y a pas depuis Pau-Est (lieu de travail et de résidence des cadres de Total et Turboméca) 1h de plus pour se rendre à l’aéroport de Tarbes... 20 minutes tout au plus soit 40 minutes A/R, compte tenu du fait que l’aéroport de Tarbes va être bientôt relié à l’autoroute par une 2x2 voies. Cela n’est pas néglieable, certes, mais loin des 2 heures que vous mentionnez !
Un aéroport sur le plateau de Ger aurait permis de mutualiser les coûts. Or les 2 aéroports ont été refaits à neuf il y a 15 ans. L’erreur suffisamment conséquente pour que les responsables de l’époque soient marqués à l’encre rouge. Maintenant, la situation va probablement rester ainsi pendant 30 ans !
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
30 août 2012, par Rêveur des villes
Je dis 20 minutes de différence, et encore, ça me paraît plutôt 15, en supprimant les 2 feux qui empoisonnent les automobilistes entre Idron et Soumoulou et sont désuets sur une nationale, et le rond-point inutile un peu avant soumoulou (pas celui de l’échangeur, qui lui remplace heureusement l’ancienne usine à gaz).
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30 août 2012, par Oscar du Pont
Votre mauvaise foi est décidément incurable...Mais ce n’est pas un scoop.
Donc, Google Maps indique depuis le RP Auchan jusqu’à Lourdes Airport 43.3 km et 52 min par la RN
Par l’ A64 48.6 km et 41 mn + le péage..
Voulez-vous que je fasse un essai avec un huissier ?
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
30 août 2012, par pehache
41mn pour aller à l’aéroport de Lourdes depuis Auchan
22mn pour aller à celui de Pau depuis le même endroit
Ca fait bien 20mn de différence, comme disait RdV. Où est la mauvaise foi ?
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
30 août 2012, par Oscar du Pont
Pardon, je ne raisonnais pas par différence. Pour être objectif il faudrait dans ce cas prendre un point moyen qui ne soit pas décentré défavorablement. Il y a bien des gens de chez Total qui doivent habiter Montardon non ?. L’écart dans ce cas ne sera pas inférieur à 30 mn, ce qui est une chose mais surtout 30 à 40 km ce qui en est une autre surtout quand les conditions atmosphérqiues ou le trafic ne sont pas bons.
Mais ce n’est pas le problème..Ce que je conteste c’est de toujours voir l’ herbe de nos voisins plus verte que la notre tout en répendant du désherbant sur nos pieds. Une pratique courante en ces lieux.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
30 août 2012, par Rêveur des villes
Oscar Il y a bien des gens de chez Total qui doivent habiter Montardon non ?. L’écart dans ce cas ne sera pas inférieur à 30 mn
Oui, à Soumoulou aussi ! Quant à ceux de Turbo, ils sont pratiquement aussi près de l’aéroport de Tarbes que de celui de Pau. Vous allez me dire, il y a aussi le bassin de Lacq et Euralis...
Prendre Auchan comme point central pour établir une comparaison me paraît raisonnable. A l’écart de 19 minutes mentionné par un site internet, il faudra en enlever un peu pour la 2x2 voies échangeur aéroport Tarbes, on sera proche de 15 minutes de différence, ce qui n’est quand même pas énorme.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
30 août 2012, par AK Pô
De la naissance d’Alternatives Tarbaises...
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
30 août 2012, par Oscar du Pont
Aucune envie d’aller faire la queue derrière un groupe de pélerins cambodgiens amenés par un Padre énervé et qui ne comprend pas pourquoi il doit jeter son vin de messe au contrôle des bagages.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
30 août 2012, par AK Pô
atterrissage en double salto de mauvaise foi
Pehache :"Ca fait bien 20mn de différence, comme disait RdV. Où est la mauvaise foi ?" : il s’agit du temps sur le même trajet Pau-Ossun, pas comparé au temps sur Pau Uzein.
Enlevez les glissières centrales des autoroutes et vous aurez des pistes d’aéronefs à deux pas de chez vous, non mais ! 
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
30 août 2012, par Oscar du Pont
Et on purra faire un Grand Prix à Uzein alors ?
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
30 août 2012, par Daniel Sango
"Un aéroport ça va trois bonjour les dégats"
Il faudra pourtant regarder la réalité en face.
Relisez le Rapport de la Cour des Comptes "les aéroports français face aux mutations des transports aériens" de juillet 2008 ou plus résumé mon article "Un aéroport ça va trois bonjour les dégats" (lien ci dessus)
Tous ces aéroports sont condamnés et c’est logique.
Il faut d’urgence en fermer deux, pour le troisième on pourra attendre encore une dizaine d’année que la LGV arrive à Dax.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
30 août 2012, par Rêveur des villes
Personnellement, je serais moins radical que DS sur ce sujet.
D’abord, je ne fais pas confiance à la cour de comptes. Ensuite, combien y a-t-il d’emplois de complaisance dans un aéroport géré par une CCI ?...
Le BAB ne renoncera jamais à son aéroport. C’est plutôt celui d’Irun par rapport à Bilbao qui paraît le plus contestable.
De toutes manières, les choses ne changeront pas entre Pau et Tarbes. Maintenant que l’opportunité d’un aéroport commun a été râtée et que les 2 aéroports ont été refaits à neuf, même si le doublon génère un surcoût (dont le montant ne sera jamais divulgué), il sera maintenu...
Rendez-vous dans 30 ans...
20 personnes en doublon sur un an représentent un coût d’environ 1 M€.
La LGV n’est pas prête d’arriver à Dax, encore moins à Orthez donc le bassin de Lacq profitera de l’aéroport de Pau.
On peut facilement imaginer un ordre de grandeur de 100 M€ gaspillés sur 35 ans dans le doublon Pau-Tarbes. "Merci" encore à Labarrère (champion des méga gaspillages) et son homologue tarbais de l’époque, M. Raymond Erraçarret, maire de 1983 à 2001. Au contraire, et par exemple, il y a un seul aéroport Mulhouse-Bâle.
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30 août 2012, par Larouture
Si l’université est de deuxième niveau, de quel niveau est le bassin d’emploi de Pau ?
L’aéroport de Pau est d’un intérêt général. Certainement, mais pour Pau et sa périphérie.
Quand les finances publiques sont en berne, que la balance commerciale du pays est déficitaire ou que nous devons nous adapter à la mondialisation, je ne suis pas sûr que la vision de l’intérêt général depuis Pau, Tarbes ou Lourdes soit la bonne échelle.
Je veux bien qu’il faille défendre son pré-carré, voire faire du lobbying, mais la crise avançant, il faudra aussi des remises en cause, notamment sur la mobilité.
Autant les identifier et les préparer. AP me parait tenir ce rôle, au moins avec les commentaires.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
31 août 2012, par Oscar du Pont
Oui, c’est sûr. Mettons une gare LGV et un aéroport international à Orthez, authentique capitale du Béarn et future capitale du pays basque et des Landes réunies.
Le basin d’emploi de Pau est le second de la région Aquitaine. Comme son Université.
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31 août 2012, par pehache
Et pas à Tarbes. A ma connaissance, il n’y a pas d’aéroport à Tarbes.
Si on y va par là, il n’y en a pas à Pau non plus, mais à Uzein...
Géographiquement il est plus près de Tarbes que de Lourdes, et sa dénomination "officielle" est "Aéroport Tarbes Lourdes Pyrénées".
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
31 août 2012, par pehache
Au sujet de la "concurrence" entre les 2 aéroports (Pau/Tarbes) et des subventions accordées aux low-cost, il ne faut quand même pas oublier non plus de rappeler l’anomalie des subventions accordées à l’exploitation de la ligne Paris-Tarbes au titre de l’"Obligation de Service Public" ! Totalement anormale alors que l’aéroport de Pau et ses lignes (non subventionnées) vers Paris est facilement accessible depuis Tarbes (ça marche dans les deux sens, hein...).
Les lignes Paris-Tarbes n’existeraient pas sans ces subventions, et beaucoup estiment que sans ces lignes l’aéroport de Tarbes serait fragilisé (et pas loin d’être inactif en hiver quand il n’y a aucun vol charter).
http://www.ladepeche.fr/article/2011/01/14/989829-la-ligne-tarbes-paris-coute-t-elle-trop-cher.html
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
31 août 2012, par Rêveur des villes
Cela fait 15 € de subvention par billet. Je comprends quand même pas très bien comment avec un taux de remplissage de 72% et de tels tarifs (qui sont ceux d’un moyen courrier...), la ligne peut être déficitaire sans subventions...
Quant on voit les tarifs des low costs à côté, avec la même participation des collectivités...
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
31 août 2012, par Rêveur des villes
Je disais 15 € de subvention par billet AS.
Le tarbais qui veut aller en loisir à l’aéroport de Pau paierait de toutes manières ces 15€ en voiture + péage + parking aéroport (payant à Pau et gratuit à Tarbes). Cette subvention ne me paraît pas particulièrement choquante. En plus, Tarbes est encore plus loin que Pau de Paris par le train...
Sur la sécurité des low costs... il n’y a eu aucun crash avec Ryanair (enfin il est possible que j’ai loupé un épisode). Avec Air France...
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
31 août 2012, par Maximo
"Sur la sécurité des low costs..." + 1 RDV. Je n’y connais pas grand chose mais me dis que les commissions de sécurité européennes ne louperaient pas les low cost si elles étaient prises en défaut. Je ne parle que des européennes volant dans le ciel européen. Pour les autres c’est une autre paire de manche.
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> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire |
28 août 2012, par superbearnais
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Cher M. Boutin, vous qui êtes si fort pour la critique, roi du FauKon, Yaka... je vous propose de proposer des pistes économiques relançant cet aéroport. Je vous promets de les appuyer.
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> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
30 août 2012, par Daniel Sango
La seule solution consiste a fermer immédiatement deux des trois aéroports entre Biarritz, Pau et Tarbes.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
30 août 2012, par Oscar du Pont
Fermez tout ce que vous voulez sauf Pau
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
30 août 2012, par Daniel Sango
Et il faudra aussi fermer le troisième...
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
31 août 2012, par Oscar du Pont
Oui, juste après qu’on ait éteint la lumière chez Airbus, afin que le calme revienne enfin sur les coteaux de Sauvagnon et de Montardon et que le bonheur de la marche à pied nous permette d’éviter aussi d’élargir la route de Bordeaux. Nous allons à grands pas vers un futur très économique. Youpee.
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> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire |
27 août 2012, par couac-coâ
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Faire ainsi l’apologie des low-cost, en particulier celles de droit irlandais, c’est bien mal connaître comment elles fonctionnent. Elles rognent sur tout :
le carburant embarqué -ce qui pourrait porter atteinte à la sécurité des voyageurs (voir les mésaventures de Ryanair en Espagne ce mois d’août)-,
les low-salaires des personnels -du pilote à l’hôtesse de l’air- par ailleurs taillables et corvéables,
les prestations : vous devez payer pour le moindre service ( ex : enregistrement d’un bagage, obtention d’une carte d’embarquement à l’aéroport etc.)ce qui peut finalement revenir aussi cher qu’un billet promo d’une compagnie régulière.
Et en plus certaines se font subventionner grassement par les collectivités locales !
Stop à ces compagnies low-cost, véritables transports négriers d’aujourd’hui.
Il est cependant nécessaire pour le dynamisme de notre agglo de demander que les tarifs aériens au départ de Pau baissent car ils sont insupportables quand on n’appartient pas à la clientèle d’affaire. Air France qui avance en ce moment une nouvelle politique (bases en province, développement sa filiale Transavia etc.) doit revoir sa copie.
Nos élus se doivent d’agir pour améliorer cette situation !
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> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
27 août 2012, par paysaa
Je suis à 100% d’accord avec couac-coâ..
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
27 août 2012, par HB
"demander que les tarifs aériens au départ de Pau baissent" : totalement d’accord avec couac-couac concernant le low-cost et également avec son constat sur les prix pratiqués par Air France. L’avantage est de nouveau à Toulouse : si vous désirez vous rendre à l’étranger (par exemple pourtour méditerranéen) comparez les prix au départ de Pau et de la capitale de Midi-Pyrénées. Au départ de Toulouse, Lufthansa propose de nombreux vols vers ses hubs de Francfort et Munich d’où vous pourrez partir à des prix défiant toute concurrence . Si vous tenez à voler Air France, en profitant du même privilège, une solution : partir de Bilbao.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
27 août 2012, par Larouture
Ce que vous décrivez sur les tarifs aériens préfigure ce que seront les tarifs sur les lignes LGV.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
27 août 2012, par Rêveur des villes
"demander que les tarifs aériens au départ de Pau baissent"
Ridicule ! Si Air France pratique ces tarifs, c’est qu’il existe une clientèle prête à payer ce prix. AF ne va donc pas faire payer moins cher pour les beaux yeux des Palois.
Celui pour qui ces billets sont trop onéreux peut soit réserver une place un mois à l’avance, soit prendre le train, soit prendre l’avion à Tarbes, soit faire du co-voiturage.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
27 août 2012, par Rêveur des villes
Et prenez un A/R avec nuit du samedi sur place, c’est déjà beaucoup moins cher qu’un A/R en semaine.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
31 août 2012, par pehache
Stop à ces compagnies low-cost, véritables transports négriers d’aujourd’hui.
Il faut faire la part des choses et ne pas généraliser : il y a low-cost et low-cost.
Ryanair a des pratiques à la limite du scandale, mais la plupart des low-costs sont des compagnies tout ce qu’il y a de plus normales, qui s’occupent d’un segment de marché qui était délaissé par les compagnies classiques. C’est aussi idiot de dénigrer le low cost aérien que dénigrer les hôtels Formule 1...
La sécurité soit-disant moindre, c’est du fantasme. La réglementation du transport aérien en Europe est très contraignante, et les compagnies ne peuvent pas faire n’importe quoi. Et surtout, les statistiques d’accidents ne sont pas moins bonnes chez les low-costs. Et quand on voit les conclusions sur le crash de l’AF447, j’ai plus de crainte à voler avec AF qu’avec pas mal de low-costs...
Les salaires et conditions de travail : moins bons que chez AF et consorts sûrement, mais il faut pas non plus exagérer, ce n’est pas la misère de travailler pour les low-costs. Si on compare les salaires à la Banque de France ou à la Banque Postale, ce n’est pas la même chose non plus hein...
Les prestations et les services : ben oui ils sont plus faibles. Mais justement, beaucoup de gens préfèrent voler moins cher et ne pas avoir ces prestations.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
31 août 2012, par Oscar du Pont
r
Ils sont quand-même souvent border-line. Par exemple, ils volent avec des réservoirs calculés au plus juste, ce qui évidemment leur fait faire une double économie, à la fois sur les stocks de pétrole embarqués et sur la consommation . Mais lorsqu’il y a un problème d’attente, ils déclenchent des "Pann Pann" pour avoir des priorités à l’aterrissage. Si tout le monde faisait comme eux, il se passerait quoi ?
Au point de vue de la maintenance, en effet, pas de problèmes en général, ils volent avec des avions neufs qu’ils louent à des sociétés de leasing.
Quant au service, il est vrai qu’il n’est pas pire que celui qui était pratiqué chez air Inter à la grande époque du High Cost Low service, et il est vrai qu’Air France s’en rapproche activement. Je compte d’ ailleurs demander au nom de RdV la suppression des 12 biscuits secs qui sont servis en guise de déjeuner, afin de pouvoir en contrepartie faire baisser le niveau des subventions accordées à la compagnie.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
31 août 2012, par pehache
12 biscuits secs ?? Vous vous êtes trahi, Oscar : vous voyagez en 1ère classe !
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
31 août 2012, par Oscar du Pont
En effet je ne me refuse rien
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
31 août 2012, par Perplexe
Ce qui me semble border-line, ce sont les affirmations d’Oscar.
Il est vrai que par deux fois, en Espagne si j’ai bien lu, ils ont demandé un atterrissage prioritaire suit à un déroutement suivi d’une longue attente. Ces deux cas sont en instruction par les autorités de navigabilité. Deux possibilités :soit leur emport de carburant était conforme à la réglementation soit il ne l’était pas.
Dans le deuxième cas, il y aurait sanction lourde. Dans le premier cas, s’il était démontré que ces deux cas ont une probabilité inacceptable(les probabilités acceptables sont définies), la réglementation évoluerait.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
31 août 2012, par Oscar du Pont
Nous sommes d’accord et je ne vois pas en quoi je serais border-line sur ce coup là ? Je n’ai jamais dit que les low costs les plus en vue posaient des problèmes de sécurité technique, au contraire. Je n’ai fait que relater ces mêmes incidents dont vous nous précisez, puisque vous semblez être de la partie qu’ils sont sous investigation. Mais mettez moi aux gateaux secs (salé ou sucré ? ) et à l’eau pour la peine, si vous voulez bien, Commandant !
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> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire |
27 août 2012, par Bernard Boutin
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Le lien entre low-cost est université est effectivement tiré par les cheveux. Pour autant, l’attractivité d’une territoire dépend aussi de son aéroport. On sera tous d’accord là-dessus et comme les jeunes "sont condamnés" à chercher les meilleurs prix, le trafic low-cost ne doit absolument pas être négligé.
Pour info : A titre personnel, une de mes filles vient de revenir d’Édimbourg en low-cost sur Bordeaux et l’autre de Barcelone sur ... Lourdes. Cette dernière, avec une copine enseignante à l’UPPA, était montée il y a peu à Amsterdam... depuis Toulouse, toujours en low-cost.
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> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
27 août 2012, par Larouture
A titre personnel, j’en conclurais qu’il faut améliorer les liaisons (existantes) avec Bordeaux, Toulouse et Tarbes-Lourdes (voire Biarritz).
Mais l’attractivité d’un territoire, c’est d’abord le territoire lui-même. Pas les infrastructures de déplacement.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
27 août 2012, par paysaa
Oui B.B il y a aussi quelques jeunes qui vont passer un week end à Amsterdam, (comme moi)et c’est tant mieux pour eux. Il y a aussi des échanges qui sont favorisés au plan de l’Europe ( Erasmus).
Mais ça s’arrête là...
L’attractivité d’un territoire dépend d’abord de ce qu’il apporte en services et donc en qualité de vie. L’emploi bien sûr mais aussi pour un jeune couple avec enfant, l’accès au logement, l’offre de crèche, la proximité de l’école et des loisirs, etc, etc, etc... Le transport aérien vient bien après tout ça...
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
31 août 2012, par Valérie
Le problème de la desserte de Pau tient avant tout au racket d’Air France et de sa situation de monopole.
Le prix d’un AR Pau/Paris est simplement scandaleux.
Il est en effet urgent de mettre fin à cette situation.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
31 août 2012, par Oscar du Pont
J’aime beaucoup Valérie quand vous semblez découvrir les avantages du marché . Au moins celui du transport aérien. Pour les marchés financiers, nous serons patients. Eux peut-être moins, mais c’est normal.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
1 septembre 2012, par pehache
Il est en effet urgent de mettre fin à cette situation.
Oui. Et aussi à la faim dans le monde, car moi aussi je suis complètement contre.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
1 septembre 2012, par Valérie
Sous l’ironie on sent percer une prise de conscience de la vacuité de nos propos...
Plein de bonnes questions sans réponses.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
1 septembre 2012, par AK Pô
Rouspéteurs, pétez !
Les dernières études en date montrent que le Haricot Tarbais sauvera à la fois les bases macadamées de l’aéronautique (par son système de propulsion unique après consommation, cependant très économe en énergie, comme l’ont prouvé de nombreuses recherches en laboratoire -section mécanique expérimentale-), et nous épargnera la faim dans le monde (pour les mêmes raisons, avec néanmoins quelques variables satellitaires). Comme quoi la vacuité des propos est pleine d’énergies tout à fait inutiles.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
2 septembre 2012, par Autochtone palois
Le Haricot Tarbais est connu pour être moins digeste que le Haricot-Maïs qui pousse en Béarn, parce qu’il a une peau plus épaisse. Le Haricot-Maïs a l’avantage de pousser à l’ombre du maïs, d’où une peau plus fine.
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2 septembre 2012, par Oscar du Pont
Insistons pour qu’ Air France ne serve désormais que des haricots-maïs à bord de ses avions.
Non au haricot tarbais ! Surtout ceux de chez Locoste qui est un producteur subventionné.
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28 août 2012, par Rêveur des villes
"Le lien entre low-cost est université est effectivement tiré par les cheveux"
Il n’a pas beaucoup de sens. Les étudiants ne sont pas les seuls à rechercher les low costs ! Quant aux facteurs d’attractivité d’une ville, c’est d’abord la qualité de son urbanisme. Enfin, une université se bâti d’abord sur une réputation locale, qui fait que l’étudiant habitant Lourdes par ex va préférer la fac de Pau plutôt que celle de Toulouse ou Bx, avant d’attirer les élèves étrangers qui ne viennent que par des accords Erasmus. Quant aux étudiants palois qui voudraient bouger, aller en voyage, ce n’est pas la demi-heure de route jusqu’à Tarbes qui leur pose problème !
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27 août 2012, par paysaa
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Présenter l’absence de transporteurs aériens low-cost à Pau-Uzein comme un frein au développement de l’UPPA me semble un peu (beaucoup) tiré par les cheveux (d’un chauve).
B.B ne doit pas fréquenter beaucoup le discount aérien sinon il saurait que la majorité des clients de celui-ci sont éventuellement des étudiants potentiels mais seulement pour les universités du troisième âge.....je me rappelle certains vols Ryanair sur Amsterdam ou les seuls jeunes à bord étaient les membres d’équipage..
Il ne doit pas davantage fréquenter la Faculté paloise dont le principal soucis n’est pas le low-cost aérien mais la finance : logement, bouffe et petit boulot pour les étudiants et restrictions budgétaires pour les dirigeants...
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27 août 2012, par Emmanuel Pène
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L’aéroport est une infrastructure stratégique pour notre région qui est à 2h des aéroports de Bordeaux et Toulouse. Notre bassin économique Bearn + Bigorre justifie largement un aéroport qui peut être rentable. Seulement voilà, il y a deux aéroports, et aucune volonté politique visible d’en sortir.
Quant aux low cost, je pense que l’aéroport a tenté l’expérience de Ryan air, qui a couté très cher. on ne peut pas accepter le racket.
Seule une augmentation notable du trafic potentiel de passagers peut donner envie à des low cost de s’installer sans demander des contreparties couteuses. Et en période de stagnation économique, le regroupement des deux aéroports est la seule voie viable. On pourrait commencer en nommant un gestionnaire commun..
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27 août 2012, par HB
"Seulement voilà, il y a deux aéroports, et aucune volonté politique visible d’en sortir" : il n’y en a pas eu à la création des deux aéroports car le Maire de Pau a souhaité son aéroport. Au cours des années 2000, les deux aéroports ont été refaits, qui plus est sur fonds européens, ce que ce sont bien gardés d’affirmer haut et fort les élus. Je n’ai pas le chifffre des montants dépensés pour ses remises à niveau, mais il est probable que si Tarbes et Pau avaient fait pot commun, ils auraient eu l’argent nécessaire pour créer l’aéroport commun qui avait été loupé initialement. Visiblement, une fois de plus les élus ont la poche profonde.
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27 août 2012, par AK Pô
les avions sont des ambitions qui se conjuguent à l’imparfait
Et sur cet aéroport qui devait se faire sur le plateau de Ger, à quand remonte le projet (j’ai un vague souvenir d’enfance...)
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28 août 2012, par Larouture
Le projet de l’aéroport de Ger date du début années 70. Il était soutenu par le Président de la CCI de l’époque.
M. de Stampa ne manque jamais de rappeler cette histoire lorsqu’il introduit ses actions pro LGV direct Pau-Tarbes. Cela ne l’a pas empêché de soutenir l’A65 qui se positionne côté Uzein et non côté Ger ; certainement pour récupérer des passagers de Mont-de Marsan.
Un peu avant (milieu des années 60) il y avait aussi un projet de création d’une fac de médecine à Pau. Tout un moins la première année pour commencer, comme cela s’est fait pour la fac de sciences par exemple. De mémoire, le milieu hospitalier de l’époque aurait torpillé le projet. Le témoignage des pionniers de l’UPPA serait intéressant.
Je pense qu’un CHU manque profondément à l’attractivité de l’UPPA et de Pau.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
27 août 2012, par Rêveur des villes
Les aérogares de Tarbes et Pau ont été refaites en totalité il y a environ 10-15 ans. Le coût : un certain nombre de millions d’€... Je ne sais pas combien, mais un chiffre de 15 M€ pour chacune ne m’étonnerait pas, si c’est pas davantage.
La piste de celui de Pau a été refaite il y a 2 ans pour 5 M€.
Chaque roi voulait sa dépendance et l’a eu sans pb.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
27 août 2012, par HB
.
"Chaque roi voulait sa dépendance et l’a eu sans pb." : renouveler deux fois la même erreur en moins de 20 ans (1984 - début des années 2000) : cela pèse tout de même beaucoup.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
28 août 2012, par pehache
"Chaque roi voulait sa dépendance et l’a eu sans pb." : renouveler deux fois la même erreur en moins de 20 ans (1984 - début des années 2000) : cela pèse tout de même beaucoup.
Et après cela, paysaa s’offusque quand on est méchant avec Labarrère...
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
28 août 2012, par superbearnais
faux : c’est 2,5 M€.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
28 août 2012, par Rêveur des villes
Oh,un nouveau pseudo tout candide. "Merci" à la direction gateuse du site de laisser polluer le site par ces conneries.
http://www.alternatives-paloises.com/article.php3 ?id_article=4511
http://pauinfo.fr.pauinfo.fr/index.php ?option=com_content&view=article&id=108%3Aune-nouvelle-piste-pour-laeroport&Itemid=9
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
28 août 2012, par pehache
C’est Sango qui a écrit 5M€, mais on ne sait pas d’où il tire ce chiffre
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
28 août 2012, par Rêveur des villes
Je mentionne également un article de pauinfo qui cite sudouest, qui confirme celui de DS. Je n’ai pas retrouvé les articles sur les journaux locaux, mais me souviens du chiffre. La différence entre les "plus de 4 M€" de pauinfo et les 5 M€ de DS étant sans doute liée à la TVA.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
28 août 2012, par Rêveur des villes
Et dans l’article de l’époque, de DS, personne ne conteste ce chiffre-là. Compte tenu de tous ces élements, la probabilité raisonnable que le chiffre soit erroné est quasi nulle.
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
28 août 2012, par Rêveur des villes
Et si tu veux retrouver l’article sur SO, c’est le
SUD OUEST BEARN & SOULE 28/07/09
archives p10/30
2€ le document !
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
28 août 2012, par Daniel Sango
Concernant les investissements de l’aéroport, c’est bien le chiffre de 5 Millions d’euro qui a circulé dans la presse locale et que j’ai utilisé.
Pour plus de précisions, le dernier rapport de la Cour des Comptes régionale sur la CCI, indique pour les investissements de l’aéroport Pau Pyrénées :
10,409 millions d’euro d’investissements pour la période 2007 / 2012 dont 5,419 M Euro pour 2009 (année de la réfection de la piste).
7 M d’euro de prévu pour la période 2013 / 2015
80% est à charge du contribuable...
Quand les citoyens s’éveilleront...
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
28 août 2012, par Rêveur des villes
Donc 17,4 M€ d’investissements sur la période 2007-2015, sachant que la nouvelle aérogare date d’avant 2007...
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
28 août 2012, par Rêveur des villes
et tous les frais de fonctionnement également en partie en doublon avec Tarbes, aux frais de la princesse !
> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
28 août 2012, par AK Pô
peut-on payer en bons d’achat ?
RDV :"et tous les frais de fonctionnement également en partie en doublon avec Tarbes, aux frais de la princesse !"
Le doublon est une monnaie d’or d’Espagne et des colonies espagnoles, dont il existe de nombreux types de valeurs différentes.
Ah ! qui n’a rêvé de châteaux en Espagne (et de son aérodrome privé VIP) !...

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> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire |
27 août 2012, par Daniel Sango
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Le lien entre villes universitaires (ou pas) et aéroport n’a pas vraiment de sens.
Les aéroports dans les petites villes sont tous condamnés, ils ne survivent que grace aux subventions ce qui est scandaleux.
Oui Bordeaux et Toulouse se développent, a terme ce seront les seuls aéroports de la région, et cela ne pose aucun problème sérieux. Au contraire, ils offrent déjà un large choix de lignes internationales.
N’oublions pas que cette évolution se fait sur fond d’augmentation inéluctable du coût du pétrole.
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> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire |
27 août 2012, par SantAndrea
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Et si l’état assez déplorable et le constant déclin de l’UPPA étaient plutôt dus à une gestion tout à fait catastrophique de celle-ci ces dernières années, et à une politique nationale de regroupement sur les grands pôles universitaires des grandes villes (voire à la volonté municipale d’endormir les nuits paloises), plutôt qu’à ce qu’il se passe à l’aéroport ?
Mettre un rapport de causalité entre deux faits apparemment sans lien pour appuyer une démonstration est un vieux truc de rhétorique, certes, mais pour le coup, ça apparaît difficilement convainquant...
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> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire |
27 août 2012, par le coq
la vérité est dure |
Ce n’est pas le premier "loupé" des choix et investissements faits ou gérés par la CCI. Vu les prix depuis Pau il faut être "fou" ou ne pas payer pour choisir Pau Uzein. Alors faire de Pau une base secondaire de services aéronefs formation de pilotes, activités militaires, (avions privés parking) serait un bon choix. Avec une navette routière permanente : - Pau - Tarbes. (moins d’1/2 heure par autoroute). L’aéroport ne se justifie plus dans sa version actuelle d’autant que Pau ville d’avenir industriel c’est fini.
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> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire
27 août 2012, par Rêveur des villes
Université, entreprises, ménages etc, c’est d’abord la qualité de l’urbanisme d’une ville qui attire. Et à Pau, on est loin d’être au top, par rapport à toutes les autres villes du SO.
La subvention par passager pour un vol Rayair était de 11 € si je me souviens bien et celle-ci devait passer à 15 € quand la CCI a envoyé ballader la compagnie irlandaise.
Je ne sais pas à quel point fonctionne le covoiturage entre Pau et l’aéroport de Tarbes, mais il y a du potentiel. Une navette coûterait sans doute cher, d’autant plus que le parking étant gratuit à l’aéroport de Tarbes, de nombreuses personnes y vont probablement en voiture. Si Rayair avait abandonné la navette de Pau, c’est probablement qu’elle n’était pas rentable.
L’aéroport de Biarritz, lui, est à côté de la gare SNCF. Les low costs ne sont donc pas loin.
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> Pau - Trafic low-cost et ville universitaire |
27 août 2012, par le coq
la vérité est dure |
Ce n’est pas le premier "loupé" des choix et investissements faits ou gérés par la CCI. Vu les prix depuis Pau il faut être "fou" ou ne pas payer pour choisir Pau Uzein. Alors faire de Pau une base secondaire de services aéronefs formation de pilotes, activités militaires, (avions privés parking) serait un bon choix. Avec une navette routière permanente : - Pau - Tarbes. (moins d’1/2 heure par autoroute). L’aéroport ne se justifie plus dans sa version actuelle d’autant que Pau ville d’avenir industriel c’est fini.
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