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> Démission ou renoncement |
27 mars 2012, par pehache
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En assimilant A@P à l’engagement politique présumé de Bernard BOUTIN, beaucoup ont fait un énorme contresens. Parmi ceux-ci, il y a certains journalistes plus soucieux de simplification que de véritable considération ; Ce réflexe de toujours vouloir positionner quelqu’un, de le placer dans une case.
Je ne sais pas bien dans quel monde vous vivez.
Que penseriez-vous d’un journal national qui aurait à sa tête un membre du gouvernement, même issu de la société civile, mettons par exemple Fadela Amara en 2007 ? Notez que Fadela Amara avait démissionné de son poste de présidente de l’association "Ni Putes ni soumises" pour éviter justement tout risque de mélange des genres.
La question n’est pas de mettre les gens dans des cases ou pas, mais de pointer que certaines situations représentent des conflits d’intérêts potentiels. Même sans être un béni-oui-oui ou un béni-non-non, on sait très bien que parfois on doit respecter une certaine discipline de groupe dans les assemblées élues, et défendre la position du groupe même si on ne la partage pas : dans ces conditions, le BB président d’A@P pouvait-il afficher des positions différentes du BB élu dans le groupe Pau-Confiance ?
Personnellement la réponse je l’ai. D’expérience.
La presse, 4ème pouvoir : les medias d’une manière générale, donc A@P en particulier, représentent un pouvoir. La séparation des pouvoirs est une des bases de la démocratie, n’est-ce pas ? Et cela vaut aussi pour les medias.
Tenez, un exemple national assez connu, le blog monputeaux.com : au départ simple blog citoyen (un peu dans l’esprit d’A@P, mais qui a été très médiatisé), jusqu’au jour où son auteur, Christophe Grébert, est devenu élu sur des listes Modem (ça aurait été PS, UMP, ou quoi que ce soit d’autre, ça aurait été pareil). Impossible, vu de l’extérieur, de ne pas se poser la question suivante : monputeaux.com ne devient-il pas alors un outil au service de la carrière politique de Christophe Grébert ?
Rappelons seulement que la devise de cette parution est : « A chacun sa vérité ». Tout un programme toute une implication, toute une obligation. Le principe pendant ces quatre mois, n’avait pas changé : permettre à qui le désirait de s’exprimer librement dans ses colonnes.
Le mot est cru, mais je ne peux m’empêcher : "foutaises"...
Jusqu’où iraient vos grands principes ? Iriez-vous jusqu’à publier des tribunes salafistes ? Ou un article expliquant que la pédophilie finalement ça se discute ? (inutile de vous abriter derrière un "ce serait illégal" : de tels articles peuvent être tournés de façon à ne rien comporter d’illégal).
Dans un autre registre, iriez-vous jusqu’à avoir colonnes ouvertes à un monomaniaque qui vous inonderait d’articles sur la pêche à la truite ?
Peu savent les discussions, les tensions, les désaccords entre les membres de l’association lorsqu’un article était contraire à leur conviction. Fallait-il le laisser paraître ou le censurer ?
Mais quel rapport avec la censure ??? De nos jours le premier venu peut ouvrir un blog et publier tout ce qui lui passe par la tête, ou presque. Un journal n’a pas vocation à publier tout et n’importe quoi, mais au contraire à faire des choix éditoriaux. Si vous vous voyez comme un genre de youtube de l’écrit, sans ligne éditoriale, alors vous pouvez faire l’économie d’un bureau et de nombreuses réunions et discussions : un technicien pour faire tourner le site suffirait amplement.
Nous avons toujours voulu éviter la censure quitte à afficher en parallèle une position « rectificative ». C’était notre manière de fonctionner et cela le restera.
C’est vous qui voyez. Pour ma part il est hors de question que je soumette quoi que soit, si c’est pour risquer par exemple d’apparaître aux côté d’un article soumis par un demi-facho qui placarde des portraits d’adolescentes assassinées pour provoquer que des réactions émotionnelles.
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27 mars 2012, par Rêveur des villes
Même sans être un béni-oui-oui ou un béni-non-non, on sait très bien que parfois on doit respecter une certaine discipline de groupe dans les assemblées élues, et défendre la position du groupe même si on ne la partage pas : dans ces conditions, le BB président d’A@P pouvait-il afficher des positions différentes du BB élu dans le groupe Pau-Confiance ?
Personnellement la réponse je l’ai. D’expérience.
J’ai vaguement regardé un conseil municipal dans lequel siégeait BB. Et il me semble l’avoir vu voter contre certaines propositions alors que le groupe PauConfiance votait pour ou s’abstenait. Il a donc osé prendre une position différente du groupe. Il n’en est pas mort, heureusement pour lui !
Comme je l’ai dit précédemment, ça demande de supporter la haine des autres au nom de son souci pour l’intérêt général. Mais qu’importe, si je puis dire dans la mesure où ces "autres" sont des fous zélés, que l’on appelle pudiquement "sympatisants" etc.
Un conseiller municipal qui n’exprime pas sa pensée dans un vote sincère ne sert à rien. Il n’existe d’ailleurs que 3 personnes dans ce CM : MLC, YU et JP. Les autres ne sont pas des personnes libres de s’exprimer mais des bulletins de vote du chef de groupe. Il y a parfois eu qqes exceptions, dans une certaine mesure, mais cela est resté très limité.
Les CM sont-ils menacés de mort par leur "maître" ? Bien sûr que non. Ils peuvent s’exprimer. S’ils ne le font pas, c’est qu’ils n’en ont pas la volonté, le courage ou qu’ils ne supportent pas certaines tensions négatives ou encore qu’ils n’ont pas d’idée, d’opinion. Mais alors ils devraient démissionner parce que c’est pour une liste que les citoyens votent, pas pour une personne, contrairement aux législatives ou aux présidentielles par exemple.
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27 mars 2012, par Rêveur des villes
Je n’ai pas connu cela, mais paraît-il que D. Iriat, du temps de Labarrère a parfois exprimé publiquement son désaccord lorsqu’elle en éprouvait.
Ca lui a valu d’être marginalisée mais elle a conservé sa dignité de personne libre et soucieuse de l’intérêt général contrairement à tous ceux qui ont tout voté par gratification personnelle au mépris de l’intérêt général.
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27 mars 2012, par pehache
Pour D.Iriart : tout à fait, du temps de AL c’est une des rares qui osait l’ouvrir.
Et quand elle a intégré la liste MLC, elle avait parait-il négocié de conserver sa totale liberté de parole (qu’elle utilise d’ailleurs).
Pour autant si tu penses que D.Iriart ne respecte jamais une quelconque discipline de groupe, à mon avis tu te trompes. Et quiconque en politique (hors électrons libre affirmés) affirmerait ne jamais respecter une certaine discipline de groupe, serait un menteur.
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27 mars 2012, par pehache
J’ai vaguement regardé un conseil municipal dans lequel siégeait BB. Et il me semble l’avoir vu voter contre certaines propositions alors que le groupe PauConfiance votait pour ou s’abstenait
Et ? Quand j’ai parler de respecter la discipline de groupe, j’y ai associé le mot "parfois", et ce n’était pas que pour faire style.
Parfois, donc, la discipline de groupe est difficilement outrepassable. Et c’est manichéen et hors de la réalité de n’interpréter la discipline de groupe qu’en termes de soumission au chef. Pour des raisons d’efficacité et de lisibilité, un groupe politique a parfois besoin de s’exprimer d’une seule voix : la position commune est débattue en interne et ensuite défendue par tous en public. Ca veut dire qu’en interne des compromis doivent être faits pour arriver à la position commune. Et ce n’est pas qu’en politique que ça marche comme ça : la moindre association fait pareil.
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27 mars 2012, par Rêveur des villes
Dans le cas de la municipalité paloise, j’ai discuté de certains sujets avec de nombreuses personnes proches de MLC et FB. Chaque fois, même réponse et pour tous les sujets : "je suis d’accord avec vous mais MLC (ou FB) ne voudra pas" ou "ce n’est pas dans son idée".
Chacun tirera ses conclusions quant à l’utilité de tels conseillers municipaux ou adjoints et sur ce que signifie la "discipline de groupe" au sein de la municipalité paloise.
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27 mars 2012, par pehache
Ca c’est la réponse qu’ils ont bien voulu te faire.
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27 mars 2012, par Rêveur des villes
et donc ?
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27 mars 2012, par Rêveur des villes
Une position commune valable ne pourrait provenir que d’un groupe de personnes en grande majorité honnêtes et motivées qui effectuent un brainstorming sincère, des compromis mesurés, avec un chef ouvert.
On est très loin de cela avec MLC, FB et leur équipe. Dès lors, si un CM possède qqes idées qui ne sont pas réellement prises en compte en interne pour des raisons politiciennes internes, il se doit, à mon sens, de les exprimer en externe sous la forme d’un vote "personnel" justifié, sans quoi elles n’apparaîtront jamais.
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27 mars 2012, par Maximo
Le débat que vous avez lancé est intéressant. Cette liberté est tentante, elle le fut pour BB. Mais il a probablement oublié un peu vite qu’il n’avait pas été élu sur son nom, comme tous les autres CM d’ailleurs. Un numéro, en quelque sorte et avec tout l’affectueux respect dû à sa personne. Preuve en est qu’initialement, il n’avait pas été élu du tout et que ce n’est que parce qu’il avait figuré sur une liste en 2008 qu’il est devenu CM à la faveur d’une vacance. Finalement, le scrutin a donné tant de voix à MLC, tant de voix à YU, tant à FB. 1 CM = 1 bulletin, c’est un peu raide, mais c’est bien ça sauf peut-être à la marge, mais alors à une marge vraiment très... marginale. Les délégués élus pour participer au scrutin présidentiel américain n’ont aucune liberté de choix ; ce n’est pas un déni de démocratie pour autant.
C’est aussi une règle de la démocratie que la discipline de groupe. pas facile, je suis d’accord. Et jusqu’où aller ? Pas facile non plus à délimiter. A force de dire oui, ou plutôt de ne plus savoir dire non, plus de 400 députés français votèrent les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain. Je suis bien certain que bien peu étaient des salauds. Ils étaient faibles et lâches. Peut-être pas davantage que ceux qui donnèrent leur aval à ce qui était pourtant tout aussi visible, les malversations relatives au FIPAU... Je ne dois partager aucune idée de madame Iriart. Mais pour cette seule prise de position-là, elle est un exemple de l’intégrité d’un élu de la République. Et elle fut la seule. LA SEULE ! inter pares. On devrait s’en souvenir.
Un ministre ça ferme sa g... ou ça s’en va dit Chevènement en son temps avec beaucoup de raison. Regret ? Constat ? Injonction ? On peut remplacer ministre par élu de tout poil, ça continue de marcher... Quand on entendit sur France bleue BB dire qu’il voterait blanc à la présidentielle, on sut in petto que son sort était scellé.
Bien que, finalement, il n’y eût aucun conflit d’intérêt (Pehache, ce sera notre seul petit point de désaccord) : combien de propriétaires ou directeurs de Figaro ou jadis d’Aurore furent députés ? De Jaurès à Dassault, les patrons de presse furent des politiques et souvent des élus. Sans qu’on eût à relever d’outrancier scandale (lisant cela, Pehache va tomber de sa chaise). La caricature Berlusconi est le contre exemple
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28 mars 2012, par pehache
Bien que, finalement, il n’y eût aucun conflit d’intérêt (Pehache, ce sera notre seul petit point de désaccord) : combien de propriétaires ou directeurs de Figaro ou jadis d’Aurore furent députés ? De Jaurès à Dassault, les patrons de presse furent des politiques et souvent des élus. Sans qu’on eût à relever d’outrancier scandale
Oui Maximo. Sauf que le Figaro ou l’Humanité sont des journaux d’opinion assumés. Ils n’en font pas mystère et chacun sait à quoi s’en tenir les concernat.
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28 mars 2012, par Rêveur des villes
Maximo : "Finalement, le scrutin a donné tant de voix à MLC, tant de voix à YU, tant à FB. 1 CM = 1 bulletin, c’est un peu raide, mais c’est bien ça".
C’est ce qui se passe en pratique, mais cela ne devrait pas se passer avec des personnes évoluées.
Concernant le rapprochement avec les ministres : les ministres sont nommés par le premier ministre qui est nommé par le président de la république. Les ministres ne sont pas élus.
Si seules 2 ou 3 personnes devaient être élues au CM, "il n’y aurait qu’à" voter pour des personnes et leur accorder ensuite un % de voix. S’il y a 50 CM, c’est parce que la gestion d’une ville demande une réflexion à plus de 3 personnes vu le nombre de sujets à traiter et la complexité de certains sujets (exemple : pour ou contre la TCSP). Chaque conseiller est sensé apporter son point de vue (sur certains sujets car il ne peut pas s’occuper de tout, et se faire entendre haut et fort si nécessaire) pour contribuer aux prises de décision, chaque point de vue devant être réellement pris en compte par le chef de groupe et directement par le rapporteur de projet. C’est son devoir de conseiller. Un conseiller qui n’est qu’un bulletin de vote pour son chef ne remplit pas ce devoir.
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28 mars 2012, par Valérie
Est ce que Bernard Boutin répondra un jour ?
Sur sa volte face MLC/Bayrou en 2008...
Le chevalier blanc a des comptes à rendre sur sa moralité en politique !
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29 mars 2012, par Maximo
Oui, oui, rêveur. C’est bien cela : "Chaque conseiller est sensé apporter son point de vue...". Dans une majorité sensée, cela se passe comme ça. Demandez à D. Borotra à Biarritz dont la majorité est PS-Verts-Autonomistes basques-Centristes-UMP (un exploit !). En commissions, en réunions d’adjoints, en réunions de majorité, toutes les discussions, tous les avis, tous les tiraillements y sont permis ; le maire écoute, calme, rassure, réunit, concilie et ce n’est pas toujours gagné d’avance. Puis il tranche et chacun se rallie à la décision. En réunion de Conseil municipal, c’est "silence dans les rangs et je ne veux voir qu’une tête". Et pourtant ! En dehors d’extrémistes basques, de communistes et de FN, cette ville est gouvernée sur le principe du consensus depuis 1991. Oui, c’est possible.
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29 mars 2012, par Rêveur des villes
Une "tradition" de chefs autoritaires et fermés : Labarrère, Bayrou, et les petits Labarrère : MLC, JP, YU, lesquels sélectionnent dans leur liste des personnes qui ne seront que des bulletins de vote, surtout pas des gens qui réfléchissent et qui pourraient s’opposer à une idée quelconque du chef. Le niveau des échanges dans les conseils municipaux confirme cela.
Concernant Biarritz, je serais quand même étonné que tous les CM se rallient finalement à la décision du maire. Enfin, puisque vous le dites... Pourquoi, alors, à votre avis ?
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29 mars 2012, par claudiqus
Pourtant, le Basque est moins complaisant que le Béarnais ...
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29 mars 2012, par Maximo
Je n’ai pas dit tous les CM, rêveur. Je ne parlais que de sa majorité, composée comme je l’indiquais de manière hétéroclite dès la création de la liste. Heureusement il y a des oppositions (les radicaux basques, et de droite et de gauche). La raison ? Parce qu’avant d’arriver au vote, Borotra ne bride pas la parole, que les réunions sont parfois nombreuses et houleuses et qu’il déploie des trésors de diplomatie pour amener les uns et les autres à une position commune, le plus souvent... la sienne ! Car il sait ce qu’il veut. Certains lui reprochent son autoritarisme, c’est vrai (à l’UMP souvent). Mais laissez aller les mêmes à la confidence et ils avouent que l’homme sait y faire. Mais bon : ils bossent, les CM là-bas ! Leurs réunions sont nombreuses et pas seulement de rares chambres d’enregistrement !! J’en ai entendu quelques uns, rêveurs et aussi quelques fonctionnaires qui me tinrent ce langage. Mais vous avez raison : pas tous.
Cela dit : regardez ce que sont devenues ces deux villes en 20 ans, 1991 - 2011 !!!!
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29 mars 2012, par Rêveur des villes
S’il fait toutes ces réunions, j’imagine que ce n’est pas pour le plaisir de donner l’illusion aux CM de sa majorité qu’ils sont écoutés. C’est probablement pour récolter des idées, ajuster certains points, en valider d’autres, et à force d’une longue réflexion, "le" bon projet, du moins la plus pertinent, se dégage et obtient un consensus assez large. Il sait que lui seul n’a pas toute la solution. Qu’il en ait souvent (mais pas toujours) une intuition proche (mais pas exacte) de cette solution au départ, est logique s’il est au-dessus du lot. Il en est sans doute ainsi des bons dirigeants en général, que ce soit dans une ville ou une entreprise.
A Pau, un petit monarque mal éclairé qui décide seul et selon l’humeur.
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30 mars 2012, par pehache
Il n’en reste pas moins qu’il s’agit bel et bien de discipline de groupe, les CM soutiennent à la fin une position qui n’était pas forcément la leur.
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30 mars 2012, par Rêveur des villes
Si, suite à la réflexion du groupe, le CM adhère sincèrement à la solution trouvée, alors il ne s’agit pas de discipline de groupe puisque cela n’a pas lieu d’être.
S’il n’adhère pas à la solution trouvée et qu’il vote pour quand même, alors, il s’agit de discipline de groupe. Et là, dans la grande majorité des cas, cela me paraît nuisible à la bonne gouvernance de la ville.
La position de départ de ce conseiller peut être proche ou éloignée de la solution finale. Ce qui compte est la qualité de la réflexion menée en groupe et l’adhésion ou pas par chacun des membres à la solution trouvée.
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30 mars 2012, par pehache
Il est virtuellement impossible, au sein de n’importe quel groupe, d’adhérer à toutes les décisions qui sont prises. Même si elles le sont après consultation et débats.
Déjà dès qu’on est deux il y a des désaccords, alors à trente...
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30 mars 2012, par Rêveur des villes
Ca dépend aussi de l’ampleur du désaccord par rapport à la solution retenue, et de l’importance du dossier.
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30 mars 2012, par Maximo
Déjà dès qu’on est deux il y a des désaccords A@P sert aussi de conseiller conjugal. Allonge-toi sur le divan, Pehache, dis-nous tout : qu’est-ce qui ne va pas ?
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30 mars 2012, par AK Pô
Entre DS et BB, PH a du mal à rester http://www.actu-environnement.com/ae/dictionnaire_environnement/definition/ph.php4, pitêt, doctor Maximo !
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27 mars 2012, par L’ OURS du Bois
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Sur l’utilité qu’un conseiller municipal de l’opposition est capable d’apporter, il ne faut pas se bercer d’illusion.
et vous croyez que l’ensemble des conseillers de la majorité, apportent une "idée" autre que celle (s) du chef ????
la devise du chef n’est elle pas
"je ne veux voir qu’une seule tête ; la mienne" 
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