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Votre commentaire
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> Georges Labazée |
12 décembre 2011, par Maximo
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c’est curieux des phrases comme celles-ci qui sonnent comme un coup de fouet au visage de l’électeur : Le parti socialiste va légiférer sur le cumul des mandats Non, Labazée, non, t’as encore rien compris : ce n’est pas le parti qui légifère : c’est le PARLEMENT
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> Georges Labazée |
12 décembre 2011, par Seuveton
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Georges Labazée - "... Je suis ouvert à l’écologie et à l’environnement, mais je suis aussi un pragmatique ce qui explique pourquoi je suis un défenseur de la Pau Oloron...."
Si vous êtes ouvert à l’écologie, vous ne me semblez pas très convaincu : on peut tout à faire être écologiste et pragmatique, ce n’est pas du tout contradictoire comme vous le supposez
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> Georges Labazée
12 décembre 2011, par pehache
Moi aussi je suis ouvert à l’écologie et à l’environnement, mais uniquement si ça ne nous empêche pas de détruire la nature : je suis un pragmatique. Les petites fleurs c’est très bien dans les jardinières aux fenêtres, mais il ne s’agirait tout de même pas d’empêcher les camions de traverser l’europe en long en large et en travers.
GL est d’une génération formatée par le productivisme...
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> Georges Labazée |
12 décembre 2011, par Père Ubu
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Par ma chandelle verte voilà un homme actif qui se glorifie d’avoir cumulé quatre mandats. La vie doit lui paraître bien terne maintenant qu’il n’en a plus que deux .
Notre Président Sénateur fait honte à tous ces citoyens qui se contentent d’un seul travail .
Il est vrai que le pouvoir est une drogue et que perdre un mandat doit être une amputation bien douloureuse. Faisons confiance au PS pour ne pas légiférer sur ce cumul et nous éviter ainsi une assemblée de manchots .
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> Georges Labazée
13 décembre 2011, par Maximo
On peut malgré tout relativiser ce cumul. Il date d’avant la décentralisation des lois Deferre de 1982. Jusque là, les exécutifs départementaux étaient exercés par les préfets et non la collectivité elle-même ; jusqu’en 1986 pour les Régions et leur élection au suffrage universel, si ma mémoire est bonne. Leurs présidents n’avaient guère qu’un rôle de représentation.
Je me souviens du cas de Jean Lecanuet qui fut, à la fin des années 70, le plus grand cumulard de France juste avant Chaban, étant à la fois maire de Rouen, président de la Communauté urbaine de Rouen, président du Conseil général de Seine-maritime, président du Conseil régional d’une des Normandie et député. 
> Georges Labazée
13 décembre 2011, par Maximo
Addendum : et les fonctions électives locales (ville, département et région) étaient gratuites ou quasiment. Juste de quoi s’acheter des chewing-gums
> Georges Labazée
13 décembre 2011, par Louis H
Maximo, tout n’est pas faux mais c’était A. Bettencourt qui était président de Haute Normandie à partir de 74 .
Et puisque vous vous interessez à cette région vous avez faux : la "communaute d’agglo de Rouen" ne date que de 2000. Du temps de Lecanuet c’était juste qu’un Sivom, devenu District en 1995 (donc bien après la mort de Lecanuet) puis Agglomération . Pour le SIVOM/District/Agglo il faut voir côté Laurent Fabius !
> Georges Labazée
14 décembre 2011, par Maximo
Bon, je fais amende honorable pour l’appellation "Communauté urbaine". N’empêche, c’était bien quand même l’agglomération rouennaise.
> Georges Labazée
14 décembre 2011, par Louis H
Maximo, vous mélangez (volontairement ?) sans dire clairement ce que vous voudriez démontrer sur Lecanuet puisqu’il était "au pouvoir" avant que n’existe une intercommunalité de Rouen
1)ce que présidait Lecanuet se limitait à un Sivom pour les ordures, les secours incendie et les bus sur Rouen et sa proche couronne, comme c’était alors la règle en France
2) après 1989 (changement de majorité) celui qui a pris la suite a été FABIUS . Il a d’abord abandonné le Sivom et créé un District de 33 communes (en 1995) doté de délégations de fonctions élargies (développement économique, de l’habitat et de la vie sociale, de l’enseignement supérieur et de la recherche, de la vie sportive, de la vie culturelle, de la formation et de la jeunesse et de l’aide aux petites communes ) , puis ensuite lancé l’Agglo rouennaise et enfin extra-rouennaise, en amalgamant 4 intercommunalités et plus de 70 communes. Fabius d’abord président, laissant ensuite un de ses adjoints prendre la présidence (Fabius étant vice-président) puis reprenant lui-même le poste. Les présidents : 1989-2000 Laurent Fabius (PS) ;
2000-2001 Yvon Robert (PS) ;
2001-2008 François Zimeray (PS) ; de 2008-à ce jour : Laurent Fabius (PS)
3)la mise en place des différentes formes administratives d’intercommunauté élargie donc s’est faite par la majorité de Gauche après le départ de Lecanuet (1989) avec d’autres fonctions sur davantages de communes .
Difficile d’incriminer ce même Lecanuet comme "cumulard" pour la présidence d’un Sivom ! Quant à dénoncer , faites-le sur des faits vérifiables et vérifiés. Si vous voulez regardez donc les cumuls de ... Labazée, Fabius, Ayrault, Lignières Cassou , Emmanuelli, etc.
> Georges Labazée
14 décembre 2011, par Maximo
Non, non, bon... je me fiche un peu de Lecanuet, je ne dénonce rien, n’incrimine personne et ne veux rien démontrer à son sujet que je ne connais que très modestement... Je rappelais simplement ce qui était de notoriété publique à savoir qu’il fut, avec Chaban, dans les années 70, l’un des élus ayant le plus de mandats et de présidences... Vous ne contestez guère ce que j’ai dit, d’ailleurs, hors les détils de ce sivom. voilà, c’est tout. C’était juste pour relativiser les cumuls... Bon, mais ce n’était rien qu’un exemple sans aucune importance.
Je vous présente mes excuses, ainsi qu’à la famille de Monsieur Lecanuet, au CDS de l’époque, à la Ville de Rouen, aux Sivom, département et Région de la Normandie tout entière réunis, aux Normands, aux Vickings, leurs ancêtres et descendants...
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> Georges Labazée |
12 décembre 2011, par Jean Lafitte
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Ni M. Sango ni M. Labazée ne parlent de "langue régionale, "occitan", "gascon" ou "béarnais", voire "basque".
Pourtant, l’article 75-1 de la Constitution met les collectivités territoriales au premier rang pour la conservation de ce patrimoine.
Je n’en suis pas surpris, mais ça montre qu’il faut moins que jamais se faire des illusions sur leur avenir !
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