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Votre commentaire
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> Xavier CEYRAC |
29 octobre 2011, par le coq
la pompe à air |
Je comprends que ce "dialogue soit aussi doux". La région ne présente aucune source de développement crédible. Nous sommes à la remorque des grands groupes et vu notre représentativité il faut être gentils. Non M. Ceyrac la douceur de vos propos me désole car c’est une preuve d’impuissance. Certes ce n’est pas de votre faute - enfin j’espère - Combien d’emplois industriels ont disparus depuis dix ans ? Vous ne parlez pas du complexe de Lacq devenu un leurre, ni des fonderies, ni de la Chimie, ni des industries liées au machinisme agricole ? Vous êtes dans un microcosme confortable vivant "sur l’aéronautique" avec un objectif de ne pas faire trop de bruit. Il ne faut pas réveiller les volatiles . Je comprends votre position mais je préfère un homme d’actions à un comptable "tout doux" qui présente à ses membres du conseil d’administration un bilan d’enterrement. J’ai cependant le plus grand respect pour votre personne, acceptez que votre organisme ne vaut pas un confit de canard puisque les industries alimentaires vous n’en parlez pas non plus. La mécanique est pourtant dans tous les pôles.
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> Xavier CEYRAC |
24 octobre 2011, par Rêveur des villes
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Xavier Ceyrac - "Le chômage est une des conséquences d’une insuffisance de formation d’une partie de la population qui est peu ou pas employable. En 2007, nous avions 1000 emplois de disponibles dans le département et devions faire venir des gens de l’extérieur malgré un taux de chômage de 7%. Aujourd’hui, le chômage est supérieur et, nous avons à ce jour près de 100 postes à pourvoir, que l’on n’arrive pas à satisfaire. Il y a une inadéquation entre offre et demande".
Pourquoi donc ne pas former directement "un soudeur" par exemple, sans que celui-ci doive passer par des formations préalables ? Les DRH ont l’esprit étroit en France, contrairement aux anglo-saxons par ex.
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> Xavier CEYRAC
24 octobre 2011, par Maximo
Ah... Parce que la formation initiale serait du rôle de l’entreprise privée, maintenant, RDV ???
> Xavier CEYRAC
24 octobre 2011, par Rêveur des villes
Ben non, c’est pas pour excuser l’incompétence de l’Etat à mettre en parallèle les formations et le marché de l’emploi.
Mais en pratique, si une entreprise a besoin de personnel et qu’elle ne veut pas former des personnes non qualifiées, cela me paraît absurde pour elle. Ou en fait, elle n’en a pas absolument besoin...
Cela dit, d’un autre côté, cela conduirait l’Etat à faire encore plus n’importe quoi...
> Xavier CEYRAC
24 octobre 2011, par peyo
" Pourquoi donc ne pas former directement "un soudeur" par exemple, sans que celui-ci doive passer par des formations préalables ". Interrogation valable, mais Rêveur c’est tellement encadré par LA LOI que c’est souvent impossible pour l’entreprise. Le passage par les strucures "labellisées" comme les CFA est obligatoire.
Les DRH ont du s’y faire. Exemple local : Turbomeca a n’a plus son centre de formation d’apprentis, qui pourtant était un centre d’excellence.
> Xavier CEYRAC
24 octobre 2011, par L’ OURS du Bois
les centres de formation des apprentis, peuvent être gérés par les organisations professionnelles.
toute entreprise professionnelle, petite ou moyenne adhère soit a la chambre des métiers (artisans) ou chambres de commerces.
toute entreprise adhérente peu former des apprentis.
deux problèmes, le cout et le recrutement.
le cout peut être soit une perte seiche, ou un investissement sur l’avenir,
pour ma part, aient formé plus d’une vingtaine d’apprentis, le bilans reste très positif. la majorité d’entre eux sont restés a l’entreprise, entre 8 et 18 ans. garçons et filles ;
pourquoi si peu ??? manque de "volontaires" pour un travail manuel pourtant bien reémunéré

> Xavier CEYRAC
24 octobre 2011, par Louis H
L’Ours
Tout d’abord, la formation initiale ne peut plus être faite en entreprise ; ça passe par une structure officielle (CFA, collège, lycée, etc) qui définit et organise l’alternance "sur le tas".
Une erreur de formulation "toute entreprise adhérente peu (sic) former des apprentis" . Non ce n’est pas un droit, l’entreprise doit être agréée, notamment en montrant qu’elle a les moyens techniques et humains pour former l’apprenti jusqu’à l’obtention (éventuelle) du diplome visé.
> Xavier CEYRAC
25 octobre 2011, par L’ OURS du Bois
bonjour monsieur louis.H
Il est évident que la formation d’un(e) apprenti(e)ne peut être réalisé par qui que se soit ;
un pâtissier ne peut former un plâtrier ou un staffeur, même si l’on mélange de la poudre a un liquide et que être inscrit ne suffit pas, mais si l’on est un vrai professionnel, ça ne pose aucun problème.
pour ce qui est de la formation initiale, tout dépend de ce que vous mettez dans l’enveloppe( pas le dessous de table) de la formation.
il est signé entre trois personne, un contrat d’apprentissage, qui est un vrai contrat de travail
les trois personnes sont, le jeune ou son représentant légale,
le maitre d’apprentissage( qui peut être le chef d’entreprise ou le chef d’atelier, dument missionné par l’entreprise (dont il devient le représentant de l’entreprise)
et le centre de formation qui peut être appelé CFA ou autre agrée par l’état
la formation initiale est défini par le justificatif de l’achèvement de la scolarité du premier cycle de l’enseignement secondaire
ensuite, vous me dite, non ce n’est pas un droit. OUI, mille fois OUI, ce n’est pas un droit mais c’est un devoir de former des jeunes, même aux métiers les plus ingrats,
(nota, ils est important de savoir qu’un jeune en formation, n’est présent que a 5O% du temps (en moyenne a l’entreprise) qu’il nécessite la présence d’un "ainé" et que la rémunération doit être attrayante. les jeunes que j’ai formé étaient rémunéré au smic et non sur la base du...
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