|
Votre commentaire
|
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations |
15 juin 2011, par Daniel Sango
|
On lira sur le même sujet ce que j’ai pu écrire il y a déjà longtemps : "Un aéroport ça va, trois, bonjour les dégats !" et le rapport de la Cour des Comptes sur les aéroports en France.
Les choses sont parfaitement claires depuis des années : les aéroports de province doivent fermer, même les aéroports régionaux sont à la limite de la rentabilité (Bordeaux, Toulouse)
Mais il est certain que ce n’est pas encore arrivé jusqu’à Monsieur Uthurry Président du Syndicat Mixte de l’Aéroport de Pau.
Il est facile de s’obstiner avec l’argent du contribuable !
Quant à la rélexion sur le déclin d’Elf, il est certain que ce qui a fortement diminué c’est l’emploi des bearnais dans les postes de techniciens qui faisaient des rotations vers l’Afrique, où le reste du monde.
De chez Elf, mais aussi surtout pour les sociétés de services pétrolières en particulier le forage.
|
|
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations |
14 juin 2011
|
Je crois qu’il faut arrêter de fantasmer sur notre aéroport. Historiquement de développement de "la ligne", (Pau-Orly) a coïncidé avec celle d’Air Inter et de la SNPA (Future Elf, etc...).Le déclin ou la stagnation accompagne la contraction de l’activité de Total.
Je me souviens de l’inauguration de la ligne desservie par un avion à hélices aux couleurs de la compagnie Air-Nautic, la flotte de l’Air Inter naissante étant bien maigrelette.
Disons le franchement, les avions étaient remplis de cadres des grandes entreprises ou administrations locales (j’ai beaucoup volé dans cette catégorie), les touristes étant minoritaires.
Aujourd’hui" le marché du transport aérien n’est plus le même. Les entreprises limitent les voyages de leurs cadres,(Visio, Skype, Internet) ; l’activité économique de notre territoire n’a plus la même valeur relative, et le touriste entrant ou sortant est une denrée rare et aléatoire.
Mais le transport aérien intérieur, ou proche européen, a-t-il un réel avenir ?
Peut-on réclamer à corps et à cri une LGV, et en même temps des avions pour partout ?
Le coût carbone du transport aérien est loin d’être nul et les compagnies vont devoir supporter une nouvelle taxe pour compenser leurs émissions. Par ailleurs depuis 1945 le secteur est périodiquement secoué par des crises de surcapacités au cours des quelles les alliances objectives de compagnies et des gestionnaires d’aéroport sont à géométrie variable. Sans parler de l’effet déstabilisant ds low-costs.
Je crois sincèrement que chercher des destinations ailleurs que vers les hubs où l’on trouve des correspondances pour partout (Olrly et plus encore Roissy)n’a pas grand sens pour nos régions.
|
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
15 juin 2011
Le déclin ou la stagnation accompagne la contraction de l’activité de Total.
Quelle contraction ? L’activité principale de Total dans le coin c’est le centre scientifique et technique Jean Feger, et il est tout sauf en contraction (même si à plus long terme personne ne peut dire de quoi l’avenir sera fait).
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
15 juin 2011
Voir la réponse de D. Sango, plus haut. Par ailleurs un certain nombre de fonctions tertiaires ont été rapatriées au siège de Total.
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
15 juin 2011
D’un autre côté Total continue de construire de nouveaux bureaux sur le site palois, ce qui n’est pas tout à fait le signe d’une contraction de l’activité.
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
15 juin 2011, par déambulator
Certes oui, mais regardez l’ancien site des Allées : seuls subsistent l’immeuble "Le piano", totalement déserté par Total, et l’immeuble occupé par la sécu . La grande tour de bureaux a été démolie.
Le nombre de m2 nouveaux à Jean-Feger, ne compense pas les M2 perdus, et on peut conjecturer que l’emploi est proportionnel aux m2. Je n’ai pas les chiffres des emplois "Total" palois (hier et aujourd’hui) mais si quelqu’un les a, il pourrait nous départager.
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
15 juin 2011
Il faut quand même savoir qu’à une époque, le site des Allées était l’unique site palois de SNPA/SNEAP/ELF. Puis le CSTJF a été créé. A un moment (début des années 2000 ? je ne me souviens plus précisément...), la décision (rationnelle) a été prise de tout regrouper au CSTJF.
Mais depuis la suppression du site des Allées, il y a encore eu 2 nouveaux bâtiments contruits au CSTJF (qui pour une partie, mais une partie seulement, ont remplacé de vieux préfabriqués), et il y en a actuellement 2 autres en préparation : tout ça c’est du m² de bureau supplémentaire.
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
15 juin 2011
Déambulator,
c’est du grand n’importe quoi comme élucubrations arithmético-immobilières ! Et encore Déambulator-le-nostalgique a oublié dans son "évaluation" qu’il y eut les laboratoires avenue du Pdt Angot :
La grande tour de bureaux a été démolie. qu’est-ce que ça à voir, puisqu’elle était vide, inoccupée et interdite depuis des années à cause de l’amiante ?
Le nombre de m2 nouveaux à Jean-Feger, ne compense pas les M2 perdus, et on peut conjecturer que l’emploi est proportionnel aux m2.
Jean-Féger fait en gros 3 fois plus de m2 que LesAllées. Que faut-il en déduire ?
Que le personnel a ses aises maintenant avec plus de m2 par individu,
que les voitures qui débordent des parkings à Jean Féger sont louées et mises en place du matin au soir par Total, juste pour faire croire qu’il y a encore de l’activité malgré-le-pétrole-qui-devient-rare
ou que les effectifs augmentent à Jean-Féger mais uniquement parce que Total y envoie des étrangers recrutés à bas prix dans des pays sous développés ?
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
15 juin 2011, par déambulator
Tout ça c’est bien beau , mais il n’y a pas dans vos messages dde chiffres sur l’emploi, qui englobent tous les établissements : Lacq , le CRL le CRP, les Allées. Tant qu’on les aura pas on pourra toujours envoyer des anathèmes à tout vent.
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
15 juin 2011
Vous êtes amusant, déambulator, mais la charge de la preuve est tout de même à celui qui initialement a parlé de "contraction de l’activité de Total" : qu’est-ce qui lui permet de dire cela ?
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
16 juin 2011
N’oubliez pas que l’objet principal de nos échange est la contraction du trafic de l’aéroport et que Total n’est intervenu dans le débat qu’au détour d’une phrase.
Je n’ai pas de "preuves" de la contraction de l’activité de Total dans le bassin d’emploi , mais j’ai fait part d’indices que tout le monde peut voir. Si je me trompe tant mieux !mais pour l’instant aucun chiffre d’emploi, (car c’est bien de l’emploi que je parlais et non pas de CA ou de valeur ajoutée), je n’ai rien vu venir.
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
16 juin 2011, par pehache
Quels indices ? Si c’est des indices du genre la fermeture du site des Allées, on vous a démontré que cela avait été plus que compensé au CSTJF au niveau surface de bureaux.
Vous affirmez une chose, c’est à vous d’apporter des éléments tangibles.
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
15 juin 2011, par Peyo
en écrivant il n’y a pas dans vos messages de chiffres sur l’emploi, qui englobent tous les établissements :Lacq , le CRL le CRP, les Allées. Déambulator montre qu’il a décroché de l’actualité il y a un paquet d’années ! Les entités qu’il a connues( ?) ne figurent plus sur aucun annuaire de 2011 :
direction Lacq désintégrée => Total E & P France + Béarnaise des Gaz + Total Petrochemicals + Sobegi + Arkema France, etc
CRL => Arkema depuis 2004
CRP disparu il y a plus de 20 ans pour intégrer Jean-Féger, les batiments repris par le CG64 et converti en Hélioparc
Les Allées, fermées par ElfAquitaine il y a presque 15 ans (la Cpam, la Mediatheque, le CG se sont partagé les batiments y compris la villa Ridgway, tandis que le Piano a été mis en location à différents utilisateurs)
et si Déambulator ne l’a pas remarqué les anciennes écuries Ridgway de l’avenue des Lilas ont disparu, on ne pompe plus le pétrole de Lacq Supérieur, mais en revanche une centrale énergie intègre un pilote d’injection CO2.
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
16 juin 2011
On peut toujours me trouver des poux dans la tonsure sur la périphérie mais quid des chiffres d’emploi que, pékin extérieur "aux entités" je ne puis connaitre ????
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
16 juin 2011
Les chiffres d’emploi pour des employeurs privés ne sont pas publics. Des chiffres par secteurs sont publiés au Ministère du travail ou ses antennes. Davantage d’infos probablement par la CCI.
Pour ce qui est des emplois de la Ville et de l’Agglo, ils ne sont pas révélés.
|
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations |
14 juin 2011, par pehache
|
Après ce franc succès de la ligne Pau-Marseille, je suppose que la CCI va laisser la place à un gestionnaire un peu plus sérieux ? Non ? Ah...
|
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
16 juin 2011
Je pense que la CCI a bien fait de "tenter" cette liaison vers Marseille. Ca n’a pas fonctionné. Peut-être fallait-il arrêter plus tôt avant d’attendre d’avoir creusé un trou de 1,5 M€ de déficit.
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
16 juin 2011, par pehache
Ca ne vous paraissait pas un peu mal embarqué, vous, cette histoire de ligne Pau-Marseille-Rome opérée par un transporteur hongrois avec des capitaux suisses (ou l’inverse), qui était jusque là un spécialiste du fret aérien sans aucune expérience dans le transport de passagers, et qui pour exploiter cette ligne avait acheté/loué un MD-83 de capacité trop importante, et qui sans être hors d’âge ne correspond plus aux standards des avions en service en Europe ?
Si tel n’était pas le cas, vous êtes bon pour travailler à la CCI !
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
16 juin 2011
Je ne me souvenais plus de ces conditions. Effectivement, c’était un peu scabreux. (RdV). Je sais pas pourquoi BB supprime parfois les pseudos !
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
16 juin 2011
"MD-83 de capacité trop importante, et qui sans être hors d’âge ne correspond plus aux standards des avions en service en Europe"
foutaises, c’est l’appellation de la version améliorée du DC9 . Le MD80/83 (à peine plus ancien que les Boeing727 et AirbusA310) a été construit à 1200 exemplaires et prolongé en Boeing 717 ! On n’exige pas un avion dernier cri pour s’offrir un billet low cost sur un vol moyen courrier...
Et justement pour les lignes low cost court moyen courrier on trouve ces avions d’occasion du modèle précédent , donc largement amortis après avoir faits les beaux jours de AF ou LU.
Erreur de marketing de commerciaux trop optimistes, la clientèle n’était pas au rendez-vous sur Pau/MRS/ROM. Que l’avion de 15 ans d’âge soit opéré par un consortium financier ne change rien à une (bonne ?) idée, puisque tout le monde ne peut voler en Business sur AF avec un billet payé sans rechigner par sa multinationale d’employeur...
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
16 juin 2011, par pehache
Je vous fait remarquer que les grosses compagnies low-cost européennes (Ryanair, Easyjet...) ont des flottes d’avions relativement récents, à l’opposé des avions d’occasion de 15 ans conçus il y a 30 ans. Ne serait-ce que pour une raison fondamentale : les avions récents consomment moins.
Des MD80 ou dérivés, ça devient exceptionnel d’en voir sur les aéroports d’Europe de l’Ouest. Et ceux que l’on voit sont la plupart du temps affretés par des compagnie de charters, qui reposent sur un modèle économique assez différent du low cost régulier.
Maintenant je ne dis évidemment pas que l’avion utilisé est le responsable numéro 1 de l’échec de la ligne, juste que ça faisait partie des nombreux indices qui dès le départ laissaient planer un doute sur la façon dont ce projet avait été monté.
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
17 juin 2011, par l’ours du bois
comme le disait Raymond DEVOS
"j’entends le doute planer" 
très insuffisant pour une compagnie aérienne 
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
17 juin 2011, par claudiqus
Que ce soit en train ou en avion, ça plane pas mal !... le cannabis peut-être ? ...
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
17 juin 2011, par le coq
scoop
info du 1/4 d’heure, ça y est, réseau ferré de France a bouclé son budget de 8 milliards pour le TGV Bordeaux Paris en 2 heures. Ceci entraine la refonte des aéroports car à deux heures de Paris Bordeaux Mérignac n’a plus de valeur (dixit le Directeur de l’aéroport de BX). Alors que les "stratèges comiques"qui font et refont les projets "impossibles" depuis Pau notent ces décisions.Il semble clair que l’avion Biarritz Paris existera et qu’il n’y aura pas de TGV sauf LGV, quant aux autres enterrements de première classe il faudra s’y faire.
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
17 juin 2011, par claudiqus
Effectivement, 2h de TGV, c’est un coup d’arrêt au low cost !
Le chiffre de 8 Mds pour environ 600 km m’interpelle un peu . ça représente en gros une moyenne de 1.3 Mds/100 km .
Par comparaison, 2 Mds pour Mt de Marsan-Pau parait donc beaucoup plus cher ... infrastructure paysagère, ouvrages d’art en nombre plus élévé ?

> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
17 juin 2011
Mais non, 8 milliards c’est le prix de Tours Bordeaux soit environ 300km.
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
17 juin 2011, par claudiqus
Ah, ok ! donc approximativement 2.6 Mds/100 km, soit à peu de choses près un coût équivalent à 2 mds pour 80 ou 85 km .
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
17 juin 2011, par Contribuable Palois
Les lignes comme Ryanair, Easyjet, etc, sur des liaisons à haute concurence et fort traffic justifient des avions de dernière génération. Parce que la rentabilité est acquise en ne laissant les avions au sol que le minimum incompressible. Pour Pau-Marseille-Rome avec quelques liaisons hebdo ça ne semble pas aussi justifié ni nécessaire. De toute façon un avion moderne et récent n’aurait probablement rien changé : clientèle insuffisante sur cet axe en 2010-2011, même avec un billet très peu cher !
De la même façon qu’un taxi dans une grande ville investit dans une Mercedes neuve et va rouler au mini 12 heures par jour pour la rentabiliser alors que dans une bourgade moyenne un vieux Peugeot diesel suffira à l’artisan qui adaptera ses horaires à la demande. Le tout est d’avoir la caisse adaptée à la clientèle.
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
17 juin 2011, par pehache
OK, contribuable, on était donc bien sur le modèle de la bourgade avec une vieille 504 break mazout. Sauf qu’en plus elle était affrettée par le maçon du coin qui avait surtout l’habitude de transporter des parpaings.
|
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations |
13 juin 2011
|
Bonjour,
effectivement, « Dans l’aérien rien n’est acquis d’avance et l’aéroport de Pau-Pyrénées nous le démontre quasiment chaque mois » ... et ce n’est pas nouveau, et je vais vous donner une preuve de plus :
Dans les années 1990, j’ai voyagé entre Pau et Paris-Orly, en particulier avec AOM ; les billets de cette nouvelle ligne de la compagnie alternative, étaient bien moins chers que la ceux de la compagnie nationale.
Il y avait même des points de fidélité A.O.M. pour faire concurrence à AIR FRANCE.
De ce fait, j’ai reçu gratuitement d’A.O.M., un billet A/R Pau-Paris. Malheureusement, peu de temps après, la liaison Pau-Paris a été supprimée, et je n’ai jamais pu utiliser ce ticket.
J’ai donc toujours au fond de mes tiroirs, un aller-retour Pau-Paris ’Open’, qui n’a jamais servi, et de toutes façons, A.O.M. n’existe plus depuis 2003.
Cocasse, Non ?
|
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
13 juin 2011, par Maximo
Ah ! Quelle aventure... !
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations
13 juin 2011, par Contribuable Palois
Pau-Orly par AOM : Le plus curieux n’est pas où vous le pensez.
AOM compagnie alternative avait pour actionnaire le Crédit Lyonnais, banque nationalisée.
Pour "se faire une place" AOM pratiqua des tarifs avec rabais par rapport à ceux d’Air France, puis du véritable dumping pour attirer la clientèle. Mais sans rentabilité, ça ne pouvait aller très loin.
Ce fut cependant le projet "commercial" de cette époque : AOM (filiale majoritaire du Crédit Lyonnais nationalisé) faisant de la concurence à Air France (société nationale appartenant à l’Etat) avec le déficit d’exploitation comblé par des subventions ... En 2 mots c’était le Ministère des Transports faisant de la concurence à Bercy ! La course vers le vide payée par nos impôts.
Un conseil : renseignez-vous, votre coupon peut interesser un collectionneur. Vous n’aurez pas tout perdu.
|
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations |
13 juin 2011, par Maximo
|
Un peu comme si demain, on nous disait : "A partir de maintenant, vous n’atterrissez plus à Pau mais à Tarbes-Lourdes..." Et alors ?? Moi qui habite plutôt Pau nord, ça ne m’arrangerait guère (je prends l’avion environ 2 fois par mois). Mais pour tous ceux qui sont plus au sud, Ossun est aussi près que Uzein.
Quand on est à Paris, il faut nettement plus de temps pour rejoindre Orly et beaucoup plus pour CDG... L’argument est de ceux qui, au contraire, plaident pour la suppression pure et simple de Pau-Uzein.
|
|
> Aéroport Pau Pyrénées : La valse des destinations |
13 juin 2011, par le coq
à vos hélices |
Les deux aéroports Biarritz et Lourdes-Tarbes sont suffisants pour desservir aussi les voyageurs de Pau. Avec les prix dissuasifs au départ de Pau tous les doutes disparaissent. Ce qui manque à mes yeux c’est un aéroport régional de fret civil et militaire. Pourtant la nécessité est réelle. D’autant plus utile que l’activité régionale va dans ce sens. Une liaison : Pau Saragosse Barcelone Madrid Bilbao Bordeaux Pau, sous forme de circuit imposé, me semble rentable si on utilise des avions de deuxième jeunesse.
|
|
|
|
 |
|
|
|