Petites emplettes dans les épiceries de quartier paloises, loin des grandes enseignes périphériques. Respirons l’air pur des rues où l’on va faire ses courses à pied, en promenant son chien et son petit sac à roulettes.
Les épiceries sont comme les cinémas de campagne : elles existent et survivent par ceux qui s’y rendent. Allez Magdeleine, ouvre la boutique et baisse le rideau, je t’emmène au cinoche !
-par AK Pô
15 01 2011
PS : le temps me manque, mais j’aurais beaucoup aimé que les épiciers posassent devant leur commerce. Un jour, peut-être !