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Votre commentaire
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> Transparence ? |
8 juillet 2006, par Bernard Salsé
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La CDA pouvait être presque un exemple de transparence.Jusqu’àla fin 2005 et depuis la fin 2003, les délibérations du Conseil d’Agglo étaient publiés sur le site de la CDA. Il y avait les commentaires de tout un chacun qui intervenait dans le débat. Cela fourmillait d’informations et donnait une certaine vie aux différents votes.
Depuis le début 2006, changement de formule. Il n’y a plus que le texte de la résolution qui est votée, ce qui est mieux qu’avant, car le texte exact ne figurait pas, mais il n’y a plus les commentaires des orateurs. C’est un peu dommage, car cela faisait partie de la transparence.
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> Changeons de Régime |
1 juillet 2006, par René
Proposition de 6ème République |
Manifeste pour un changement, la Convention pour la 6ème République travaille à des institutions publiques réformées qui garantiront une séparation effective des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire d’une part, des pouvoirs nationaux et locaux d’autre part, assurant ainsi à nos concitoyens, par des garanties de délibération, le libre exercice de leur souveraineté. Elle milite en faveur d’un accroissement significatif des droits des citoyens leur permettant de contrôler les décisions prises en leur nom, notamment par la constitution de contre pouvoirs à l’exercice des fonctions administratives, judiciaires et électives.
Il semble que Ségolène Royal se raproche de plus en plus de la C6R...
Alors TOUS pour Segolène en 2008 ?
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> Gouvernance Attitude... |
29 juin 2006, par Bernard Salsé
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Le dénominateur commun à toutes ces composantes d’une nouvelle gouvernance, déléguer, consulter, écouter, c’est la transparence.
Aujourd’hui ce n’est même plus un choix. La transparence des pouvoirs publics devient une obligation : l’information fuse à grande vitesse, le monde se complexifie, les compétences sont multiples et dispersées. Une collectivité locale a tout à gagner dans ce mode là.
André Labarrère a pris les rênes de la Mairie à une époque où le contexte était très différent. Son mode de gestion était assez bien adapté à cette époque : une équipe reserrée rassemblant toutes les compétences, un bon contrôle centralisé.. C’était ce qu’il fallait peut-être.
Aujourd’hui le mode "Transparent" devient obligatoire pour la gestion publique.
L’équipe municipale actuelle peut-elle adopter immédiatement ce mode là ?
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> Gouvernance Attitude...
29 juin 2006, par Lou Tillous
Vous êtes bien compréhensif et consensuel quand vous parlez de "à cette époque...".Car la municipalité précédente de Louis Sallenave qui a un bilan éloquent(Chambre de commerce,adduction d’eau sans problème,Université,Aéroport,constructions scolaires,...)avait fonctionné dans la concertation et l’harmonie sans connaître ce "Gleichschaltung" de l’époque Labarrère.
> Gouvernance Attitude...
29 juin 2006, par Bernard Salsé
Louis Sallenave était un vrai commerçant, métier où l’art de la négociation est bien souvent à sa plénitude.
André Labarrère était un professeur, métier où la négociation n’est pas indispensable.
Il s’ensuit quelques différences.
C’est ce retour aux sources qui est intéressant aujourd’hui. La négociation revient en force.
> Gouvernance Attitude...
29 juin 2006, par M.CAZALET
Oui,mais à l’époque c’était des hommes politiques bénévoles,eux ils ne chantaient pas partout :"j’aime PAU",ils le pratiquaient simplement.
c’était une époque,où le service aux palois était une réalité,un seul témoignage : l’ EAU
aujourd’hui encore,grâce à eux,l’eau de PAU est une des meilleures " eau de France et de Navarre" et des moins chère,malgré la volonté souvent manifesté du conseil municipal majoritaire de l’augmenter.
l’eau n’est elle pas la vie.
> Gouvernance Attitude...
29 juin 2006, par Bernard Salsé
Gleichschaltung ! Quand tu nous tiens !
Les Empereurs, les Tsars ne sont pas si loin et il y a eu assez peu de progrès sous leur règne. Les années 50/60 furent celles des négociateurs, avec pour conséquences les 30 glorieuses ? Les années 70/80 furent celles des technocrates avec science et sans négociation pour les 30 miserables ? Possible !
Cet art de la négociation, c’est peut-être par exemple cela qui a manqué essentiellement au Fipau pour monter un truc correct.
pas ou peu de négociations avec les associations locales pour élargir la communication commerciale ; le capital commercial ne s’est pas construit
peu de négociations pour expliquer le bien fondé du montage et se rendre sympathique localement ; le capital confiance ne s’est pas développé,
des négociations seulement (quémander ?) avec les pouvoirs publics pour obtenir des subventions et donc pas de recherche de soutiens multiples. ; le capital idées et finances est resté figé.
Même quand on est en position de force, négocier c’est toujours élargir sa position, même si elle est très forte.
Avec le Fipau on a un exemple montrant que l’argent facile tel que celui des
subventions, n’obligeant pas à négocier durement, peut conduire à un rétrécissement de l’activité.
Imaginez Hadengue obligé d’aller vendre son idée à 36 boîtes. Il aurait négocié, multiplié les idées, multiplié les soutiens. Là il n’a eu qu’un gros chèque, peu de soutien, et l’idée de base ne s’est pas multipliée et elle a bouffé le gros chèque. Et il y a une grande déception.
Il en est de même d’autres projets : Médiathèque, PBC, Jai ALai. Un seul soutien, la Ville, un seul financier, la Ville, ..La greffe prend alors difficilement.
C’est en cela que le manque de négociation peut réduire la surface des activités. Avec Staline, c’était la consommation forcée !
Le mode transparent (qui ne peut être qu’apparent !) rend obligatoire la négociation, et il y a alors création de soutiens multiples.
C’est peut-être dans cette voie que tout peut bien évoluer.
D’autant plus que pour diriger sans négociation il faut avoir le style "Labarrère" que n’importe qui ne peut pas pratiquer. Est-l encore praticable aujourd’hui ?
> Gouvernance Attitude...
29 juin 2006, par pehache
Le manque de négociation avec les associations ne concerne pas uniquement le côté commercial.
Le Méliès aurait pu être associé au festival du film "autochtone".
CulturAmerica aurait pu être associé au projet global.
Des universitaires palois auraient pu être (réellement et pas comme simples faire-valoirs) associés aux tables rondes.
Etc, etc...
Ne pas l’avoir fait est un gâchis...
> Gouvernance Attitude...
29 juin 2006, par Bernard Salsé
Péhache,
C’est évident. Ils n’ont pas recherché assez de vrais appuis locaux dans tous les domaines. Cela aurait changé la face des choses.
Mais n’y a-t-il pas trop de chapelles à Pau, qui s’opposent entre elles ? Pas assez de transparence ?
Le bonheur est toujours dans le pré du voisin (quand on le voit pas )
> Gouvernance Attitude...
29 juin 2006, par Anne O’nyme
HOMMAGE MÉRITÉ
Tout le monde est d’accord sur un point :
Monsieur HADENGUE, humaniste, cherchait avant tout à rendre service à l’humanité, aux peuples autochtones et à la population paloise.
S’il y a une chose que nous devons retenir, c’est la volonté humaniste et totalement désintéressée d’un homme qui a mis toute son énérgie, qui a donné et continue de donner pour le bien-être de son prochain, et par là-même de la planète toute entière.
Merci Raoni, merci Sting, merci Hadengue.
> Gouvernance Attitude...
2 juillet 2006, par Lou Tillous
La dérision est le procédé le plus destructeur.Bravo,Anne !
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