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> Le "Las Vegas Aragonais" : Gran Scala et le développement durable |
20 août 2009, par pehache
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Décidemment, la crise de 2008-2009 n’a pas été assez sévère, tout le monde est prêt à repartir à fond dans le mur. Quel est le sens d’un tel projet débile (si vous n’êtes pas convaincu par la débilité, allez visiter le vrai Las Vegas, ses chantiers pharaoniques interrompu en plein milieu, sa pénurie d’eau chronique...) par rapport aux enjeux sociaux et environnementaux qui nous attendent ? Aucun...
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> Le "Las Vegas Aragonais" : Gran Scala et le développement durable |
18 août 2009, par Georges 2
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"le complexe sera alimenté en « majorité aux énergies énergies solaire et éolienne ».
25 millions de visiteurs attendus"
Seront-ils eux aussi "alimentés" en énergie solaire et éolienne ou en "bons produits" de l’agriculture productiviste espagnole que l’on connaît bien ??
On oublie de dire qu’il y aura aussi un autre avantage.En Espagne, la taxe carbone n’est pas d’actualité, cela fera une économie considérable car le rejet de CO2 sera énorme pour la construction, l’entretien, le fonctionnement des activités ludiques, le transport des visiteurs, du matériel, la climatisation, l’arrivée d’eau, le traitement des déchets, j’en passe, et des meilleurs !
60 000 emplois !! Illusoire ! Pour combien de temps ? D’où viendront les travailleurs ? Des mêmes pays que ceux qui récoltent les fruits et légumes en Espagne ? A quel tarif seront-ils exploités ? Sera-t-il en rapport avec leur survie durable ? Cela profitera, c’est certain, aux entreprises qui, comme à Pau, lors des travaux au centre ville, utilisaient des sous-traitants qui sous-traitaient avec des sous-traitants !
Ce projet étalant le luxe, le jeu, la richesse, est une provocation, en cette période de crise sociale et environnementale.
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> Le "Las Vegas Aragonais" : Gran Scala et le développement durable |
16 août 2009, par Jean Paul Penot
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Dommage que dans notre monde un projet misant sur le jeu recoive si facilement des appuis alors que d’autres besoins ne sont pas facilement pris en compte...
17 milliards d’euros, c’est dix fois l’investissement necessaire pour le barreau ferroviaire vers Pau.
Et si une petite fraction des 25 millions de visiteurs transitait par Pau-Canfranc, est-ce que cela ne contribuerait pas a rentabiliser la ligne ?
Enfin, meme si le projet est retarde, un demarrage en 2012, c’est autre chose qu’un projet pour 2020...
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> Le "Las Vegas Aragonais" : Gran Scala et le développement durable
16 août 2009, par le coq
On n’est pas toujours récompensé au mérite
Cher JPP, vous êtes suffisamment averti pour comprendre que Pau s’est toujours MOQUE de ce qui se passait de l’autre coté des Pyrénées. Depuis Pau comme depuis Bordeaux. C’est bien à cause d’irresponsables que nous en sommes à ce niveau ridicule de développement dans la région. Vous même avancez des fantaisies et maintenant vous vous voudriez des miettes de ce programme ? Il faut rester digne cher Monsieur ! Les DECIDEURS ont compris ce qu’est le folklore uniquement par la lecture des commentaires des uns et des autres. Laissons faire les autres, il ne nous en coutera rien et peut rapporter alors que vos élucubration et celles de vos amis COUTENT DEPUIS TRENTE ANS ET NE RAPPORTENT RIEN.
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> Le "Las Vegas Aragonais" : Gran Scala et le développement durable |
13 août 2009, par le coq
En faire plus c’est ESPAGNOL en rêver c’est Français. |
Superbe initiative qui va créer environ 60000 emplois et un volume de transactions financières pour les entreprises, c’est énorme. Les Espagnols montrent l’exemple. On comprend pourquoi le projet de voie ferrée transpyrérénées Bordeaux ou Toulouse via Lannemezan devient crédible. Soyez rassurés à Pau nous aurons toujours le funiculaire qui permet en 10 minutes de monter de la gare à la mairie. Quand les poules auront des dents ce sera 10 minutes pour Pau Oloron....
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> Le "Las Vegas Aragonais" : Gran Scala et le développement durable
18 août 2009, par Georges 2
"Quand les poules auront des dents ce sera 10 minutes pour Pau Oloron...."
Ne soyez pas si pessimiste, avec les OGM on peut faire des poules avec des dents quand on veut ; ce qu’il faut c’est que ce soit économiquement rentable !
Vouloir aller toujours plus vite, est-ce raisonnable ? Serons-nous plus heureux quand nous serons arrivés avant d’être partis ?
Les poules n’ont pas besoin de dents, elles sont équipées avec leur jabot et leur gésier ; sachons faire comme elles, contentons-nous d’un temps qui va déjà beaucoup trop vite !!!
> Le "Las Vegas Aragonais" : Gran Scala et le développement durable
24 août 2009, par Lou Tillous
Bonjour,
Je reviens à ma marotte : l’alimentation en eau du complexe de Monegros. 
25 millions de visiteurs/an, c’est en gros une moyenne de 70.000 visiteurs/jour.
La norme française est de 140 litres d’eau par habitant/jour.La norme espagnole ne doit pas être sensiblement différente. Cela nécessite , à la louche, 9.800.000 litres/jour, soit 9.800 M3. Si je ne me suis pas trompé dans cette arithmétique simple.
Où les trouver dans le désert des Monegros ? 
> Le "Las Vegas Aragonais" : Gran Scala et le développement durable
24 août 2009, par le coq
Eau de vie
Demande à tes potes de l’UPPA tu auras confirmation que l’eau peut être entièrement recyclée après traitements. C’est déjà utilisé dans la station orbitale mais ailleurs aussi, le Seine se "boit" en amont et en aval. Il n’y a que l’évaporation qu’il faudra compenser à condition de savoir quelle est la part de l’alcool. Donc pas de problème à craindre.
> Le "Las Vegas Aragonais" : Gran Scala et le développement durable
25 août 2009, par pehache
Demande à tes potes de l’UPPA tu auras confirmation que l’eau peut être entièrement recyclée après traitements.
C’est à se demander alors comment des régions entières peuvent manquer d’eau, et pourquoi des villes comme Séville font venir en été des bateaux-citernes pour pallier au décicit en eau.
Le recyclage intégral des eaux usées est bien sûr possible, mais en pratique c’est très compliqué et très cher à grande échelle.
> Le "Las Vegas Aragonais" : Gran Scala et le développement durable
25 août 2009, par le coq
objectivement
bonjour PH, Paris est un exemple de traitement rentable, l’eau du robinet n’est pas très chère et les poissons de la Seine n’ont jamais été aussi variés ( 32 variétés aujourd’hui contre quatre ou cinq il y a dix ans) . Séville n’est pas dans les Pyrénées pas plus que Tombouctou et Venise qui flotte sur la polution a aussi de quoi faire mais pour reprendre les chiffres...70000 visiteurs par jour plus les salariés en place et la structure environnante vont représenter autour de 120000 personnes en équivalent permanent ce n’est que l’agglométration paloise autrement dit pas grand chose ni de quoi en faire une pyramide. Une simple station d’épuration et de recyclage n’est pas à exclure...il y a bien pire.
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