Bonjour, Depuis une semaine ma mère est rentrée au centre Vignalou,pour rééducation suite à la pose d’une prothèse du genou. Dépitée par le manque d’attention du personnel, ma mère qui est là en tant que patiente doit s’occuper de sa compagne de chambre : la mettre sur le bassin pour ses besoins ou la lever etc... en une semaine ma mère à eu deux séances de kiné, par malheur cerise sur le gâteau la 2ième fut une catastrophe, erreur du stagiaire, poche de glace ++++ on ne sait pas ce qu’il sait passer, pas de radio et encore moins de docteurs...c’est pitoyable, heureusement elle sort demain, en espérant qu’elle ne retourne pas sur le billard ...

Ayant un parent résident au centre Jean Vignalou, au service long séjour,je constate lors de mes visites, le peu d’attention et de sollicitude de la plupart des soignants envers ces personnes âgées dépendantes. Les simples actes quotidiens sont effectués avec un désintéressement total et sans jugeote, ex : (Habillement)sans écoute aux souhaits des familles ainsi que le maintien au lit durant tous les dimanches et fériés. Je pense que le personnel "peu nombreux"ne justifie pas cette négligence dans le service où manque d’hygiène et désordre font partie du décor sans oublié la disparition de linge marqué et lavé par la famille.

Pour répondre à ce cher Professeur d’Université...

Ce qui est terrible, et renvoie à bien des échanges sur d’autres fils de discussion, c’est que cette personne se croit obligée d’ajouter à son patronyme "Professeur à l’université..." alors que ça n’a rien à voir avec son texte mais surtout que ce dernier est... incompréhensible par fautes de syntaxe, de grammaire et de ponctuation ! Ah, y peut être fier de son titre de prof d’u, oui !!

Mais on a mis qui, pour enseigner dans les universités, depuis qqs années ?...

Ma grand-Mère est morte en Mars dernier dans cet Hôpital sordide. Elle a subi des actes de mauvais traitement...

Un enquête est en cours...

Un avis modéré, une constatation réaliste, un souhait justifié, telles sont les informations fournies qui doivent être prises en compte si on veut aborder ce problème humain avec décence et respect, peut-être même avec égoïsme, en pensant au séjour transitoire ou définitif que nous y ferons un jour. Ne parlons pas d’argent, l’expérience montre que pour certaines réalisations on en trouve toujours.

Le malheur c’est que les pensionnaires de ces établissements de soins ne guérissent jamais dans le sens attendu et que c’est de plus en plus pénible pour tout le monde.