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> Les Lumières de la ville II |
12 janvier 2009, par georges2
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Pau, ville universitaire, voilà une activité à cultiver pour le renom de notre cité. Quantitativement, par le nombre d’étudiants , elle représente déjà un quota d’habitants important ? c’est aussi un quota important de jeunesse qui augmente l’âge moyen de la population ; c’est un réservoir économique qui vaut les autres pôles avancés par ailleurs. A l’université, les professeurs et les chercheurs, en relation avec le monde entier, échangent des données avec des pays de plus en plus développés intellectuellement et économiquement comme l’Inde par exemple. Il y a là une ouverture économique et culturelle que bien des palois ignorent peut-être, mais qui fait le renom de la ville, de la région, de la France : plus discrète peut-être que d’autres entreprises mais moins polluante certainement.
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> Les Lumières de la ville II |
6 janvier 2009, par exploitant (en retraite)
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JP Penot écrit
Pau serait la capitale des géo-sciences. Ce n’est pas impossible, mais c’est à vérifier et à vivifier. On pourrait par exemple songer à un partenariat avec Orléans (siège du BRGM, le Bureau de Recherches Géologiques et Minières), où a été expérimentée une action importante de production d’énergie par géothermie. N’a-t-on pas à Pau les compétences pour cela ?
On met "Pau capitale de ..." à toutes les sauces. Pour les géosciences du pétrole et du gaz, c’est en tout cas une référence vérifiée.
Pour la géothermie l’expérience technologique des "pétroliers" est très ancienne (des municipalités ont d’ailleurs fait réaliser leurs puits de géothermie par Elf et Total, pour la simple raison que seule compte l’expertise à maîtriser ces techniques à très fort risque pour l’environnement).
Si on pense habituellement que géothermie = eau chaude , c’est un peu court. D’abord c’est le plus souvent une eau corrosive et toxique qu’on doit contenir au long des décennies où se fera l’exploitation. Ensuite en France où il faut, sauf exceptions liées au volcanisme, aller à grande profondeur pour trouver les températures élevées utiles, il faut garantir l’ouvrage sur le long terme. Actuellement en France "on" ferme les yeux sur les dégâts provoqués par une géothermie trop facile faite il y a 30 ou 40 ans en Bassin Parisien qui a entrainé la pollution des réservoirs souterrains d’eau douce potable. Expérience à ne pas renouveler
Une réserve. Le BRGM organisme d’Etat n’est habituellement pas très ouvert à une coopération industrielle où il devrait accepter de partager les responsabilités et les choix avec les co-financeurs. Affaire à suivre donc
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> Les Lumières de la ville II |
6 janvier 2009
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la médecine libérale s’affranchit de plus en plus du serment d’Hippocrate les soirs de fête, reportant tout l’effort sur le service des urgences de l’hôpital Sauf qu’au temps d’Hippocrate, mon bon JPP, l’hôpital n’existait pas, ni les services d’urgences, ni SOS Médecins, ni les tours de garde...
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> Les Lumières de la ville II
13 janvier 2009, par Patrice le Bouguignon
Vive la Médecine
En ce qui concerne les medecins libéraux je vous rassure il n’y a pas que les jours de fêtes qu’ils sont absents. Le serment d’Hyppocrate et remplacé depuis belles lurettes par le sermont du CAC 40. L’état sera obligé si cela continue de prendre des arrêtés de réquisition. Enfin ne rêvons pas vu le nombre de médecins dans nos instances( Sénat comme Assemblée générale ) sans compter les Conseils Régionaux et Départementaux il y a de quoi former des bataillons enormes......Vive la Médecine
> Les Lumières de la ville II
16 janvier 2009, par georges2
Voyons, les médecins libéraux sont "libéraux, ils peuvent faire "librement" ce qu’ils veulent, quand ils veulent !!. Après tout, c’est ce que les français ont voulu, puisqu’ils ont voté pour ceux qui décrètent que le Privé est mieux que le Public !
Pourquoi ne pas créer une médecine publique plus étendue, mieux remboursée par le sécu (fonds publics), c’est-à-dire au service du public ; pour cela, il faut que ceux qui ont des revenus conséquents, oui, il y en a, soient mis "à contributions" C’est un choix de société.
> Les Lumières de la ville II
25 janvier 2009, par ginou
tout à fait d’accord, par contre j’ai eu l’occasion "hélas" d’apprécier le service cardiologie merci à lui, je suis là.
un très bon livre pour comprendre la difficulté des hopitaux - histoire d’urgence de patrick PELOUX, de quoi vous foutre le frisson pourtant !!!
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> Les Lumières de la ville II |
6 janvier 2009
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Yes, we can ...
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