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> Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà |
31 octobre 2008, par Le Pti K.(de conscience)
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"Mon corps, qui durant tant d’années fut la seule chose que j’avais, en dépit des coups, des misères, du dégoût qu’il m’est arrivé de ressentir pour lui, aujourd’hui, sur le chemin de la vieillesse, animal ami, m’est toujours fidèle.
Je voudrais le dire, et le lui dire, avec les mots les plus banals qu’un homme habitué à travailler avec des mots puisse trouver : j’aimerais pouvoir choisir la mort de mon corps, le jour, l’endroit, et la manière. Qu’elle lui soit sereine et paisible. Et quelque chose d’absolument irrationnel : je voudrais qu’un jour mes os soient auprès de ceux de mes parents, si c’est possible. La seule chose que j’aie demandée à mon corps sous la torture, c’est qu’il me permette un jour de les regarder en face avec dignité." Carlos LISCANO in "le fourgon des fous"
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> Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà |
29 octobre 2008, par Javier
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n’oublions jamais que la Guerre Civile espagnole a fait sans doute un demi million de morts et de disparus répartis des deux cotés et qu’il est de bon ton de ce coté-ci des Pyrénées de défendre davantage les Républicains. N’oublions pas non plus les tortures,les meurtres qu’ont subis les religieux, les civils nationalistes. L’initiative du juge Garzon ne va pas vers l’apaisement de cet épisode si douloureux encore dans l’histoire de nombreux espagnols et du pays tout entier
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> Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà
29 octobre 2008, par pehache
Les familles des victimes se fichent sans doute pas mal de savoir qu’il y a eu des victimes dans les deux camps. Tout ce qu’elles veulent c’est connaître la vérité, savoir ce qui s’est passé, savoir ce que sont devenus les disparus, savoir qui est responsable. Elles y ont droit : avant de pouvoir être apaisé il faut savoir.
Et renvoyer dos à dos les deux camps est abusif.
Déjà un camp était du côté de la démocratie, pas l’autre.
Et ce qui passé pendant la guerre est une chose : on sait bien que même dans les "bons camps" aucune guerre n’est propre. Mais ce qui s’est passé après la guerre, où les exécutions de républicains ont continué, en est une autre.
Et la différence aussi, c’est que les victimes dans camp des vainqueurs ont été reconnues, alors qu’une bonne partie de celles du camp des vaincus n’y ont jamais eu droit.
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31 octobre 2008
La paix ne s’accommode malheureusement pas de ces comptes, recomptes et décomptes de morts et de violences. Même s’ils paraissent justifiés.
Sans renvoyer les deux camps "dos à dos", ce qui est rallumer de terribles antagonismes, on peut admettre, calmement et sans parti pris, que les pires exactions eurent lieu de part et d’autre. Admettons aussi, pour le regretter, que la démocratie n’était nulle part, même pas dans cette république qui n’en mérita guère le nom, hélas.
Par dessus tout, ce qui compte, c’est la réconciliation. L’Histoire montre qu’elle ne s’accommode ni des comptes ni des revanches. Le pardon est à ce prix.
70 ans après, laissons les morts aux morts.
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31 octobre 2008, par pehache
Sans renvoyer les deux camps "dos à dos", ce qui est rallumer de terribles antagonismes, on peut admettre, calmement et sans parti pris, que les pires exactions eurent lieu de part et d’autre.
Non. Car les exactions du camp nationalistes ont continuées après la guerre elle-même. ce n’est pas équivalent.
Admettons aussi, pour le regretter, que la démocratie n’était nulle part, même pas dans cette république qui n’en mérita guère le nom, hélas.
C’est une contre-vérité historique. La République de 1936 n’était peut-être pas une démocratie parfaite, mais c’était une démocratie malgré tout. En revanche les nationalistes se sont clairement positionnés en dehors du champ démocratique, aussi bien pour prendre le pouvoir que pour l’exercer.
Par dessus tout, ce qui compte, c’est la réconciliation. L’Histoire montre qu’elle ne s’accommode ni des comptes ni des revanches. Le pardon est à ce prix.
Ben voyons... C’est vraiment facile de parler à la place des familles des victimes, vous ne croyez pas ?
Le pardon n’est possible que quand il y a reconnaissance des faits. On ne peut pas pardonner à quelqu’un qui ne reconnait pas ce qu’il a fait.
Voyez l’Afrique du Sud après la chute de l’Apartheid : pour qu’il y ait reconciliation, il a été demandé aux bourreaux de reconnaitre leurs crimes.
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31 octobre 2008, par LPK
On ne construit pas des immeubles sur des cimetières.
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31 octobre 2008, par pehache
Et encore moins sur des charniers.
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28 octobre 2008, par Isla Ochotorena
ne pas mourir idiot |
Rendez-vous sur l’agenda de la ville de Pau.
Donner une sépulture à nos parents, Antigone en demandait autant, rien de neuf sous le soleil ...
Merci Garzon, 68 pages de son arrêté en date du 16 octobre qui ont fait pleurer les enfants de Républicains que nous sommes .
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27 octobre 2008, par doudou
VERITE |
La aussi je n approuve pas cette idée de ressasser les affaires de temps de guerre a quoi cela sert il de remuer toutes ces choses je trouve meme délicat de ne pas retourner le fer dans la plaie. Car je vais vous dire j ai 72 ans il y a que j ai vu dès l age de 5 ans des gens se faire torturer dans la kommandantur car ma grand mère qui était luxembourgeoise et qui parlait l allemand était la personne que l on venait chercher pour traduire ce que les allemands disaient aux gens pour les faire avouer aussi je suis contre ce système qui consiste a faire l examen du passé n en parlons plus car c’est véritablement remettre ces choses devant les yeux et ce n est pas bon.PS ma grand mère fut une grande résistance pendant la guerre de 14/18 elle a fait des obus et pendant la guerre 39/45 elle a été une bonne fée pour beaucoup de monde. car elle a évité bien des drames.
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27 octobre 2008, par cordebrume
Méthode Couet
Il y a des INITIATIVES A METTRE EN PLACE AVEC L’ESPAGNE qui demandent de ne pas disperser les ENERGIES POSITIVES POSSIBLES. Un retour sur l’histoire Franco-Espagnole a suffisamment généré de cicatrices douloureuses encore, de Napoléon à nos jours, pour éviter le report des sujets sensibles sur la deuxième et la troisième génération d’après guerre. Les historiens on s’en fout.
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31 octobre 2008
pauvre Cordebrume, tu regardes trop la télé de m..., elle t’encombre les neurones : Coué
Pour le reste, retourne dormir, tu fais de la peine...
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