Fin 2002, je cherchais un moyen permettant aux Palois de s’exprimer en toute liberté sur notre ville. La chape de plomb installée sur Pau commandait de réagir. L’idée d’Internet germa alors : grande souplesse, réactivité, exploitation à moindre coût. Très vite une équipe d’une dizaine de personnes se forma avec des « animateurs journalistes » et les « techniciens » indispensables pour réaliser une présentation de qualité et assurer l’envoi des mèls ; 958 pour le dernier numéro. Un travail de bénévole fait avec conviction. Une expérience de relations humaines très enrichissante. Merci à ceux qui ont contribué à ouvrir cet espace de liberté. Merci à vous lecteurs pour vos encouragements.Dix mois après le premier envoi, Alternatives-Paloises, A@P en bref, est bien sur les rails avec plus de 5000 consultations/an.Qui aurait imaginé cela, il y a 12 mois ? C’est peu et c’est déjà beaucoup.
En 2003, notre cheval de bataille était le centre ville. Grande satisfaction après la décision municipale sur la piétonisation.Y sommes-nous pour quelque chose ?
En 2004, il nous faut aller plus loin. L’indisponibilité de notre premier magistrat en novembre 2003 a provoqué de profonds remouds dans la majorité municipale et dans la communauté d’agglomération qui m’ont laissé une impression de vide général. Quid de l’opposition paloise ? Et nous Palois dans tout ça ? Qu’en penser ? Que faire ? A vous, par le biais d’A@P, de répondre à ces questions et à tant d’autres qui se posent.
N’attendez pas pour vous exprimer. La parole est aujourd’hui aux citoyens avant que les politiques ne la leur reprennent...Bonne année.