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> Rencontres du cinéma français : la mort au tournant |
30 juillet 2008
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Très heureux d’apprendre que les Rencontres continuent ...
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> Rencontres du cinéma français : la mort au tournant
31 juillet 2008, par carmontelle
Très heureux d’apprendre qu’il en coûtera 120.000 euros pour 5 jours aux contribuables palois, alors qu’on supprime leur modeste subvention à des compagnies théâtrales qui font un travail de fond toute l’année !
> Rencontres du cinéma français : la mort au tournant
31 juillet 2008, par D’Alembert
Allez Carmontelle,
vous savez bien que ce n’est pas au nombre de jours que cela se jauge.
Et qu’il ne faut pas faire de corrélation entre ce qu’a l’un et ce que n’a pas l’autre.
Mais si les suppressions que vous dites sont avérées, c’est SCANDALEUX.
La mort au tournant
31 juillet 2008, par carmontelle
Bien sûr, D’Alembert, ce n’est pas au nombre de jours que cela se jauge, mais à l’impact sur la population locale et à sa satisfaction.
Aujourd’hui - comme hier - la répartition des subventions n’est pas une distribution de prix, mais une distribution entre amis. Clientélisme oblige !
Ainsi 30.000 euros ont été accordé à l’Association Léo Lagrange - dont on connait l’historique et le fonctionnement - pour organiser une journée de réjouissances pour son 50ème anniversaire.
Cela représente 10 années de subvention à une compagnie théâtrale locale que je connais - et encore vient-on généreusement de la leur supprimer, sans motivation !
J’en passe et des meilleurs, comme dit le père Hugo...
> La mort au tournant
31 juillet 2008, par D’Alembert
La culture est un domaine délicat. Tout peut y être mis et n’importe quoi. On peut justifier ou tenter de justifier des aides, subventions et autres privautés par de faux prétextes, ou des prétextes prétendument culturels. Rarement artistiques, n’est-ce pas ?
Force est de constater que ce n’importe quoi prévaut à Pau depuis toujours.
Il est temps de le dire et de cesser de faire croire que la distribution de subventions a valeur de politique. L’acte de subvention est éminemment politique, bien sûr, et ne saurait relever QUE de l’élu. Toute délégation de ce privilège serait une forfaiture. Pas au sens pénal bien sûr, au sens commun d’acte accompli en dehors des règles.
Il convient de procéder en urgence à une remise à plat des critères de subventions et de connaître en premier lieu qui a quoi, combien et pourquoi.
Ensuite de bâtir une vraie politique culturelle. Il n’y a pas de politique culturelle de Droite ou de Gauche*. Il y a une politique culturelle ou il n’y en a pas.
De là découlera une politique de répartition des fonds publics sous forme de subventions, à ceux dont les activités correspondront à la politique culturelle décidée. Au prix de larmes et de grincements de dents, c’est inévitable vu la gabegie des trente dernières années.
Politique culturelle n’est pas choix artistiques. Si la première revient à la responsabilité politique, celle-là ne saurait interférer dans les seconds.
La rentrée en septembre devrait nous permettre de mettre les pieds dans le plat, Carmontelle. Il le faudra bien. Après avoir sagement laissé quelques mois à l’installation, à la réflexion et aux décisions, le temps de la patience semble révolu. On commence à ronger son frein, Madame le Maire.
* Oloron, Orthez, Bayonne, Biarritz, Hendaye ont des politiques culturelles. Certaines fortes. Discutables, certainement. Mais que les élus savent et peuvent justifier.
> La mort au tournant
31 juillet 2008, par Boby la Pointe
En espérant que la culture ne se limitera pas à un échange de duettiste comme il est évoqué ici. L’entropie expliquée par D’A, c’est quelque chose !
Pendant de nombreuses années, la quinzaine des mathématiques à Pau a été un évènement unique qui a permis d’écouter les plus grands scientifiques français(biologistes, climatologues,...), un vrai régal, avec une participation aux expositions des lycéens, collégiens....
> La mort au tournant
31 juillet 2008, par D’Alembert
voilà un exemple de ce que peut être un événement ponctuel bien pensé, ouvert etc. un vrai événement culturel, quoi.
> La mort au tournant
31 juillet 2008, par D’Alembert
ne se limitera pas à un échange de duettiste Merci, Boby LP.
La culture, c’est pour tous sinon ce n’est pas la peine. Comme le sport.
Tout au moins dans sa conception, dans ses objectifs. Le but n’est pas souvent (n’est jamais ? n’est pas encore ?) atteint ? Et alors... Ce n’est pas une raison pour cesser d’y oeuvrer continuellement.
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> Rencontres du cinéma français : la mort au tournant |
24 juillet 2008, par bipo2
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Non, ce n’était pas le tournant de la Mort ...
Les 6e "RENCONTRES DU CINEMA FRANCAIS A PAU" qui se dérouleront du 22 au 28 septembre 2008, entendent poursuivre le travail engagé, continuer à célébrer le cinéma français en saluant ses auteurs œuvrant en dehors des circuits commerciaux, offrir aux réalisateurs un espace privilégié d’échange avec les spectateurs, donner à ces derniers le plaisir de découvrir des œuvres avant leur venue sur les écrans et des réalisateurs avant leur reconnaissance, et surtout convier le public le plus large, des cinéastes dont les films nous ont touchés, à une fête du cinéma, un moment d’échange et d’émerveillement.
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> Rencontres du cinéma français : la mort au tournant |
28 mai 2008, par Pauline
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En fait le débat dès le départ a dérapé par la faute de l’adjointe à la culture : dans un premier temps elle a déclaré que le montant était élevé, mais pourquoi pas ensuite elle s’est ravisée et a promis 140000 €, somme qu’elle était incapable de tenir. Les responsables du festival se sont sentis baladés et ont fini par mettre le problème dans la presse.
Alors faisons tout simplement porter l’échec et l’abandon de ce festival à celle qui en est responsable Hélène Lerou sans aller faire porter le chapeau à des gens qui n’avaient qu’une seule envie poursuivre les rencontres du cinéma français.
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> Rencontres du cinéma français : la mort au tournant
29 mai 2008, par pehache
J’en retiens quand même que la subvention accordée passait de 70000€ en 2007 à 120000€ en 2008... Et que malgré cela les organisateurs jettent l’éponge.
Sans vouloir totalement exonérer la mairie, ça ressemble quand même beaucoup aussi à une crise de croissance mal gérée du festival de la part des organisateurs. C’est assez classique comme cas de figure.
Pour demander le triplement d’une subvention déjà conséquente, il faut quand même avoir un dossier en béton et avoir longuement préparé ça (surtout dans une période de changement de majorité). Je n’ai pas l’impression que ce soit le cas. Ne serait-ce que les conflits qui tournent autour du Méliès ne créent pas une atmosphère propice, vu de l’extérieur...
Bref, un peu facile de tout mettre sur le dos de la mairie.
> Rencontres du cinéma français : la mort au tournant
31 juillet 2008, par bilou
pehache, effectivement passer de 70000€ à 120000€ ca represente quand même ,71.42% d’augmentation, il est vraiment, vraiment,difficile de ne pas partager vos interrogations.
ca n’aurait pas un air d’un petit fipau ? il est peut etre un peu tôt, mais difficile de ne pas se souvenir.
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> Rencontres du cinéma français : la mort au tournant |
22 mai 2008, par Jean-Paul Penot
Pour un festival du cinéma européen à Pau |
Pour un festival du cinéma européen
Des rencontres franco-françaises, c’était peut-être un peu limité. En élargissant le cercle, on améliorerait sans doute l’intérêt de la manifestation, compte tenu de la qualité des productions de nos voisins. Cela donnerait par ailleurs un coup de fouet à la ville et lui donnerait une audience que les rencontres précédentes ne pouvaient fournir.
Mais en donnant à cette manifestation un caractère compétitif, on attirerait plus sûrement producteurs, metteurs en scène et acteurs, car un prix, c’est une possibilité de promotion. Une formule originale pour l’attribuer pourrait le distinguer des autres prix. On trouverait bien un animal représentatif de la région. L’ours est pris à Berlin, mais il nous resterait l’isard, le vautour, l’aigle,le desman...
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> Rencontres du cinéma français : la mort au tournant |
19 mai 2008, par kortesque
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« En réclamant 200 000 euros en 2008 contre 70 000 euros en 2007, les organisateurs ont peut-être poussé le bouchon un peu loin. »
Un peu loin , prés de 3 fois, pour quoi faire de plus ?c’est pour les frais de gasoil ?ou c’est un copain du TOTEM et il a compris trop tard ?
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> Rencontres du cinéma français : la mort au tournant |
19 mai 2008, par Une paloise qui aime sa ville
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PARIS nous envie nos rencontres,revoir le cinéma à PAU ?
Dans ce cas allons à GARLIN qui fait son festival du cinéma en ce moment.
Avons nous les moyens de financer les rencontres de bridge ?
Avons nous les moyens de financer une médiathèque au centre ville ?
Essayons de conserver ce qui fonctionne bien et surtout de l’entretenir.J’avais 18 ans nous envions les TARBAIS et leur PARVIS,aujourd’hui certaines municipalités n’hésitent pas à se déplacer en car pour se rendre aux rencontres du cinéma de PAU.Mais je suis certaine qu’en attendant un autre cinéma à PAU nous conserverons nos rencontres. Je vous en remercie.
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> Rencontres du cinéma français : la mort au tournant |
19 mai 2008, par D’Alembert
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"était-il légitime de vouloir pérenniser deux emplois ?" Si la mairie paye, évidemment... Eh bien non ! Ça ne marche plus comme ça !
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> Rencontres du cinéma français : la mort au tournant |
19 mai 2008, par doudou
RENCONTRES du cinéma français. |
JE dis que demander des sommes astronomiques en ce moment est suicidaire aussi on peut faire bonne chair avec peu d argent alors cela doit etre pareil en ce qui concerne les spectacles car je me suis apperçu que les meilleures piéces n étaient pas les mieux appreciées et qu il y avait des pièces qui pouvaient rivaliser avec les meilleures c est un fait indéniable et c est quand meme réconfortant mais on ne peut pas dans ces moments difficiles demander des sommes que l on ne pourra pas avoir aussi soyons modestes et ne pas avoir le nez plus gros que le ventre.
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> Rencontres du cinéma français : la mort au tournant
19 mai 2008, par Melissa
que vaut la culture ?
Que vaut la culture ?
Les rencontres ont été organisées l’année dernière sans pub faute de moyens,elles ont accueillis Sandrine Bonnaire, Aurore Clement, Jean françois Stevenin et bien d’autres sur un parking, sous une tente prétée par une MJC. Malgré ces conditions, et l’absence de pub 6000 spectateurs sont venus. Ce festival a fait ses preuves plus à Paris qu’ici. Il faut le pérenniser car il est unique et il est, pour la ville, la possibilité de rayonner à l’extérieur en devenant une des actualités phares de l’année en matière de cinéma. Ce festival doit grandir. Il lui faut stabiliser ses emplois, développer sa com etc. La somme demandée c’est ce que l’orchestre de Pau a eu comme augmentation.. et puis bien sur il faut régler les problèmes liés au Méliès qui n’a plus l’air de vouloir jouer son rôle de moteur en tant que cinéma d’art et d’essai.
Mélissa.
> Rencontres du cinéma français : la mort au tournant
19 mai 2008, par Roberto
On est frappé par le conservatisme des esprits occupés à résoudre nos petits problèmes.
Qu’est ce que la culture ? c’est l’ouverture de l’esprit sur autre chose, l’extérieur de l’esprit pour cultiver l’esprit.
Allons, regardons l’extérieur. La Chine souffre, une catastrophe, une communauté souffre, d’autres ont souffert avant et d’autres souffriront.
Cela vous donne pas des idées ? Des idées de festival, sur les tremblements de terre, les catastrophes, ? C’est un moyen de mieux connaitre les communautés
Du fric pour organiser un tel truc, il y en a plein, il faut frapper aux bonnes portes, Total, Airbus, Bouygues.
Mais pour approcher une telle démarche, il faut plus que de l’ouverture d’esprit, et toutes nos petites combinaisons, nos petites associations, nos petits budgets ont eu leur effet : notre esprit s’est progressivement fermé.
Bientôt trouver un centime sera même difficile.
> Rencontres du cinéma français : la mort au tournant
19 mai 2008
La subvention sollicitée peut paraître élevée mais cette somme est aussi à mettre en perspective avec les subventions gigantesques accordées aux clubs professionnels sportifs ... voir Sud-Ouest aujourd’hui.
Cette décision est regrettable aussi pour Patrick Borbon qui s’est toujours investi pour faire vivre le cinéma à Pau.
Il mériterait mieux que ce mépris affiché.
> Rencontres du cinéma français : la mort au tournant
19 mai 2008
Pourquoi parler de mépris envers P. Borbon ?
Faut-il que la ville de Pau permette à J.J. Ruttner de monter ses Rencontres du Cinéma Français au dépend du Méliès ?
Je l’ai vu l’an dernier , sauter d’une façon histérique sur la scène car ...il avait gagné . Maintenant, s’il gagne aux prud’hommes, où allons-nous ?
Mais qui pense aux nombreux abonnés du Méliès ? ( et aux contribuables Palois !)
Quelle tristesse !!!
> Rencontres du cinéma français : la mort au tournant
19 mai 2008, par 10co
Pas d’argent pour financer 2 postes, par contre la mairie n’est pas opposé à augmenter la subvention de 800 000 euros à des basketteurs professionnels de Deadtown. (La République d’aujourd’hui)
snif...
> Rencontres du cinéma français : la mort au tournant
19 mai 2008, par Françoise
SAISON CULTURELLE
Ce qui manque à Pau, c’est une véritable politique culturelle qui s’appuie sur les associations, mais qui porte les projets globalement. A quand un service culturel municipal, digne des palois, où spectacle vivant (danse, théâtre, musique, cinéma) et arts plastiques avec des expositions (voir Biarritz)seront proposés tout au long de l’année. D’autres villes l’ont fait, ça marche et bien, les abonnés sont nombreux. Le sport ok, la culture béarnaise ok, mais il faut aussi penser culture eclectique pour satisfaire tous les publics (jeunes et moins jeunes).Souhaitons que nos élus entendent le message.
> Rencontres du cinéma français : la mort au tournant
1 juin 2008, par Ravaillac
Depuis deux mois on se demande ce que fait la nouvelle municipalité en matière culturelle. Rien n’avance : les abattoirs sont à la rue, le Méliès au plus mal, les rencontres du Cinéma pour le moment annulées... pas une seule esquisse de politique culturelle. On a vu plusieur fois la photo de l’adjointe à la culture Mme Hélène Leroux Porquette dans les journaux, mais derrière le côté m’as tu vu c’est le néant.
Rendez nous Ste Cluque ce n’était pas satisfaisant mais au moins il y avait un minimum de fait.
> Rencontres du cinéma français : la mort au tournant
19 mai 2008, par D’Alembert
Melissa,
"Que vaut la culture ?" Rien ! Ça se saurait
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