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Votre commentaire
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> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" ! |
19 octobre 2012, par pehache
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Une prouesse technique puisque au moment de leur rencontre dans le tunnel hélicoïdal,...
Ah, ce détail m’avait échappé : ce n’est pas le tunnel du Somport qui est hélicoïdal, mais un autre tunnel le long de ligne dans la vallée.
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> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" ! |
19 octobre 2012, par Valérie
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Alain Rousset n’est pas le seul à être un politique cap-bourrut sur ce dossier.
Il y a des années que Martine Lignieres-Cassou à pris de nombreuses initiatives pour la réouverture de cette ligne.
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> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
19 octobre 2012, par pehache
Lesquelles, concrètement, à part de faire des déclarations à la presse ?
> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
19 octobre 2012, par pehache
Cela dit la même question peut être posée pour Alain Rousset : qu’a-t’il fait de concret au-delà des déclarations d’intentions ?
> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
20 octobre 2012, par Autochtone palois
Alain Rousset, plutôt la Région Aquitaine qu’il préside, va dépenser, seule, 105 M€ à la remise en état de la ligne Oloron-Bedous, en espérant que l’on trouvera les 300 autres M€ pour achever la liaison avec Canfranc.
> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
20 octobre 2012, par pehache
Depuis le temps que cela dure, maintenant j’attends de voir concrètement ce qui va passer. Parce que là aussi, entre dire on va dépenser xxx M€ et le faire, ce n’est pas tout à fait pareil.
Et autant il y a quelques années j’étais très favorable à la réouverture vers Bedous (et pourquoi pas plus loin), autant maintenant je commence à être d’accord avec RdV : si ça ne s’inscrit pas dans un plan plus global d’aménagement du territoire, de maîtrise de l’urbanisation, avec une vision du développement immobilier planifié le long de la ligne, etc, et bien cette réouverture prise isolément tient du gadget.
> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
20 octobre 2012, par Valérie
Elle a créé un réseau de villes avec les Maires de Jaca, Huesca et Saragosse. Ils ont depuis longtemps interpellé la commission européenne sur ce sujet.
> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
20 octobre 2012, par pehache
Valérie, j’ai dit "concrètement"...
Parce que créer des réseaux, des observatoires, des commissions, des groupes d’étude, et j’en passe, c’est assez facile, ça ne mange pas de pain, ça permet de faire de jolies photos de famille à la sortie d’une réunion une fois par an, un bon gueuleton au passage, ça permet à chacun de rappeler devant la presse à quel point il est pour la réouverture du Pau-Canfranc et contre la faim dans le monde... et voilà...
Donc, concrètement ?
> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
21 octobre 2012, par Valérie
Pehache, vous êtes un incorrigible sceptique.
Le boulot du politique consiste à faire du lobbying pour décider des financeurs.
L’investissement sur la LGV à lui été un signe fort en faveur du désenclavement.
Vous avez d’autres idées ?
> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
21 octobre 2012, par pehache
Si je suis un incorrigible sceptique, vous êtes une incorrigible vendeuse de vent...
Je n’ai toujours pas de réponse à ma question.
> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
21 octobre 2012, par Valérie
Je vous ai demandé si vous aviez d’autres idées, et là, visiblement, vous êtes sec !
> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
22 octobre 2012, par pehache
Ah la bonne vieille technique des jésuites, hein Valérie... Au lieu de répondre à une question dérangeante on en pose une autre.
Personnellement je n’ai pas la prétention d’agir en faveur de la réouverture du Pau-Canfranc, contrairement à MLC d’après vous. Je comprends bien que MLC n’a pas d’idée concrète (à part un gueuleton par an avec ses collègues de Saragosse) sur le sujet et que vous en cherchiez, mais n’en veuillez pas à la terre entière si vous n’en trouvez pas.
> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
22 octobre 2012, par Valérie
Ce n’est pas à la terre entière que j’en veux, mais à votre réthorique stérile.
Continuez comme ça si ça vous fait plaisir.
> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
22 octobre 2012, par pehache
Oh, comme c’est mignon... Valérie qui accuse les autres de "rhétorique stérile". C’est un peu comme si, voyons... oui voilà : c’est un peu comme si Labarrère avait accusé quelqu’un d’autre d’être clientéliste (paysaa, c’est pour vous :-) ).
Avec tout ça on ne sait toujours pas ce que MLC a fait de concret pour la réouverture du Pau-Canfranc.
> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
24 octobre 2012, par Valérie
La rhétorique stérile est la règle sur ce blog.
Enfonçons des portes ouvertes avec Bernard Boutin sur les coopérations Béarn/Bigorre et continuons sur le cumul des mandats...
Un manque d’imagination évident
Il semble urgent de chercher autre chose !
> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
25 octobre 2012, par Bernard Boutin
Valèrie,
Vous faites du bon boulot au niveau de l’urbanisme (secteur Joffre) mais être complètement en absence de vision au niveau de l’organisation territoriale...
Bonne journée.
BB
> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
25 octobre 2012, par pehache
A@P attend vos articles, Valérie ! Avec l’imagination débortante dont vous faites preuve à chaque fois pour noyer le poisson, ils vont être formidables c’est sûr !
Mais vous n’avez toujours pas répondu à la question.
> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
20 octobre 2012, par pehache
Valérie, j’ai dit "concrètement"...
Parce que créer des réseaux, des observatoires, des commissions, des groupes d’étude, et j’en passe, c’est assez facile, ça ne mange pas de pain, ça permet de faire de jolies photos de famille à la sortie d’une réunion une fois par an, un bon gueuleton au passage, ça permet à chacun de rappeler devant la presse à quel point il est pour la réouverture du Pau-Canfranc et contre la faim dans le monde... et voilà...
Donc, concrètement ?
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> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" ! |
15 octobre 2012, par Larouture
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Pour une fois qu’une volonté politique de rouvrir cette ligne existe, autant le saluer.
Ouvrir cette vallée au transport ferroviaire me parait beaucoup plus censé que de l’ouvrir au transport routier.
D’autant plus que le tunnel du Somport a été ouvert sans un péage qui aurait été un régulateur potentiel du trafic et de ses nuisances.
Il est en revanche possible que l’Espagne préfère maintenant investir dans les régions les plus développées - c’est-à dire là où les investissements sont les plus productifs- et non à Canfranc.
Le problème se pose dans les mêmes termes en France et ce n’est pas forcément les investissements en Béarn (LGV ou Pau-Oloron par exemple) qui seront les plus utiles au rétablissement des comptes du pays.
La suite vers Canfranc dépend donc du niveau Européen.
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> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" ! |
15 octobre 2012, par le coq
il fatigue... |
De grace arrêtez de ressortir régulièrement les couleuvres et les absurdités économiques sans issues largement débattues. Il n’y aura pas de train pour Canfranc ...point final. Alors les colères "casse-croute au jurançon" pour consommer leurs indemnités de fonction en faisant le "paon", il y en a assez. Relever le débat ou se taire telle est la vraie question.
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> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" ! |
15 octobre 2012, par Emmanuel Pène
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Ce projet est du n’importe quoi.
En période d’austérité, dépenser plus de 100 millions d’euro pour réouvrir la ligne Oloron - Bedous, il faut m’expliquer quelle va être la rentabilité de cet investissement. Y-a-t-il vraiment beaucoup de monde qui prendrait le train entre Oloron et Bedous ? Quand bien même on arriverait à Canfranc, ce ne sont pas les quelques touristes ou saisonniers qui couvriraient les énormes frais de gestion de cette ligne.
Pendant ce temps là, on tergiverse sur ce qui désenclaverait vraiment le Béarn : La Pau - Oloron, la LGV, ou un aéroport commun avec Tarbes (entre autres).
Il va falloir se réveiller, M. Rousset
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> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
15 octobre 2012, par le coq
cru d’idées...
Tout à fait OK avec ce message, Pau Canfranc marcherait si s’ouvrait un "eros center" absorbant tous les "casse-co..." qui nous pompent.
> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
16 octobre 2012, par Daniel Sango
MON CHER TER
La liaison Pau Canfranc/Espagne doit être un des élément majeur du développement touristique de la vallée d’Aspe et du Haut Béarn.
Il doit aller de pair avec l’interdiction de circulation des poids lourds dans la vallée.
Pour ce qui est des investissements productifs, la Région est bien placée pour savoir le trou gigantesque qu’elle comble pour faire circuler des TER a moitié vides.
Si le prix payé pour un Pau Bordeaux est 30 euro, le coût réel est 120 euro et la différence est payée par le contribuable (voir "Mon Cher TER, pas si ecolo que ça..." AP de janvier 2010)...
Quant à l’enclavement du Béarn, balivernes de CCI, même Sud Ouest a publié un long article avec l’avis de nombreuses sommités, montrant fort justement qu’il n’y avait pas d’influence sur le développement économique.
Alors oui, il faut faire cette liaison, mais avec un projet commercial cohérent qui permette de la justifier sur le long terme.
> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
16 octobre 2012, par Rêveur des villes
Pour ce qui est des investissements productifs, la Région est bien placée pour savoir le trou gigantesque qu’elle comble pour faire circuler des TER a moitié vides
Qu’est-ce que vous voulez faire ? Remplacer les trains par des bus à haute fréquence à certains endroits ? Pourquoi pas. Ca a déjà été fait à certains endroits mais je ne connais pas les résultats de cette politique.
Pour le reste, tant qu’il n’y aura pas de densification de l’espace autour des gares, de parkings relais gratuits avec accès rapide à la gare etc, la voiture sera ultra-dominante, même avec un coût du carburant à 2 € le litre et des péages d’autoroute conséquents.
Et puis, ce qui est pénible dans le train aujourd’hui (mais je ne saurai dire exactement depuis quand), ce sont les incivilités : gens qui hurlent à leur téléphone portable ou en discutant entre eux. Les gâteux qui ne prennent pas le train diront qu’il suffit de demander gentilment aux gens de parler moins fort ou de changer de place.
> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
16 octobre 2012, par Rêveur des villes
"La liaison Pau Canfranc/Espagne doit être un des élément majeur du développement touristique de la vallée d’Aspe et du Haut Béarn."
Heu 1 Mds € ou du moins des centaines de millions d’€ pour qqes centaines de randonneurs l’été ?... Une liaison rapide Pau Ouest-Oloron me choquerait moins !
> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
16 octobre 2012, par Larouture
On peut se demander quelle collectivité saura le mieux préparer l’avenir. Celle qui continuera à favoriser la voiture ou celle qui cherchera à densifier ?
Les politiques sont coincés par la filière immobilière qui représente des intérêts puissants et aussi des emplois. Les propriétaires veulent aussi valoriser leur patrimoine et les ménages veulent des terrains pas chers.
Aussi le constat « Pour le reste, tant qu’il n’y aura pas de densification de l’espace autour des gares, de parkings relais gratuits avec accès rapide à la gare etc, la voiture sera ultra-dominante, même avec un coût du carburant à 2 € le litre et des péages d’autoroute conséquents. » me parait cohérent, avec une réserve sur les péages.
Ce constat traduit un mécanisme qui est en œuvre depuis plus de trente ans et qui s’appelle étalement urbain.
Le problème de la (dé)densification et de la voiture est le manque de disponibilité foncière en milieu urbain qui rend la périphérie attractive, surtout pour les bas revenus.
Lorsque le péage équilibre le différentiel de valeur foncier il sera dissuasif. C’est d’ailleurs un peu le cas avec l’A65. Pour le projet Pau-Oloron, je constate que cet aspect est occulté. Il me parait pourtant fondamental.
Mais en considérant le train, n’est-on pas dans l’histoire de l’œuf ou la poule ? Le contrat d’axe ferroviaire de la région pour le département, intègre le volet foncier. Mais personne ne parle de ce projet, très ambitieux et certainement pas simple à mettre en œuvre. Pourtant, cette approche me parait la bonne.
> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
17 octobre 2012, par Daniel Sango
Les politiques ne sont "coincés" par personne.
Ils sont hélas guidés par leur seule ambition personnelle qui passe bien avant le bien collectif ou la préparation du futur.
Leur arme est le PLU qui leur permet de mener des politiques totalement incohérentes.
Regardez la préparation du SCoT du Pays du Grand Pau, en cours.
Tous les Maires ne jurent que par densification, préservation des terres agricoles, trame verte, etc.
Regardez ce que fait le Président du Syndicat mixte en charge du SCoT M Mimiague Maire de Serres Castet (et on pourrait trouver la même chose a un degrè plus ou moins important chez tous les Maires) :
Il prone la logique de bassin de vie et au lieu de rejoindre l’agglo de Pau il veut fusionner avec Thèze (Quelle logique ! uniquement pour pouvoir garder ou amplifier son pouvoir)
Il prone la densification et sa commune est la plus mitée de la région.
Les Zones industrielles sur le Pays sont beaucoup trop nombreuses (il y en a actuellement de disponibles pour 20 ans au rythme actuel, et sans compter les friches) Il crée la ZAC du Bruscos !
Il veut protéger les terres agricoles, mais crée cette ZAC sur les meilleures terres agricoles de France, complété par une nouvelle route, (le hauban de Sauvagnon ) qui coupe la plaine agricole en deux et ne sert à rien.
La protection de l’environnement est un credo, mais sa ZAC coupe irrémédiablement et définitivement la trame verte qui relie le Pont Long à la plaine de Sauvagnon.
La décentralisation ne peut fonctionner ainsi. La France ne peut ni se réformer ni être efficiente.
Pour essayer de lutter contre cela il est indispensable de limiter à deux le nombre de mandats successifs possibles, pour tous les mandats electifs.
Et bien sûr avoir une interdiction stricte du cumul.
> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
17 octobre 2012, par Larouture
Entièrement d’accord avec votre constat.
L’affaire Thèze-Serres-Castet devrait être dénoncée comme vous le faites ; indépendamment de toute autre considération (MLC par exemple, même si sa responsabilité est avérée).
Prendre chaque « variable » séparément est une première approche nécessaire.
Pour revenir au sujet (si on l’a quitté), je pense que la Communauté d’agglo de Pau devrait être structurée par les voies de chemin de fer : d’Artix à Nay et Oloron (ou Bedous...). Le contrat d’axe ferroviaire de la région devrait être repris en compte (enrichi, démultiplié)par les agglos et le département. Il me semble qu’il est dédaigné.
Pour aboutir à une meilleure gouvernance, il faudrait aussi remonter d’un cran les responsabilités : Des communes vers l’intercommunalité. Des départements vers les régions. Je suis effaré par la proximité des intérêts fonciers des élus des petites communes. Il y a un gros problème de déontologie.
Rappel d’une anecdote :
J’avais assisté aux journées d’Aiciritz sur la consommation des terres agricoles fin 2011.
M. Cassou, maire de Pardie-Piétat représentait l’association des maires (une de plus). Dans sa présentation il a indiqué que les élus appliquent ce que veulent leurs électeurs (i.e. possibilité de vendre le plus possible pour les propriétaires et acheter le moins cher possible pour les ménages).
Dans son intervention, le sous-Péfet de Bayonne a répliqué qu’il n’était pas interdit aux élus de prendre en compte l’intérêt général.
Je ne suis pas sûr que M. Cassou ait capté le commentaire, il faisait un aparté avec son voisin.
> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
25 octobre 2012, par Emmanuel Pène
Alors oui, il faut faire cette liaison, mais avec un projet commercial cohérent qui permette de la justifier sur le long terme
Lequel ? Je ne vois pas ce qui éviterait un nouveau gouffre financier.
Il ne faut pas mettre la charrue avant les boeufs et commencer à faire des projets sans avoir la moindre idée de leur rentabilité. Sinon, c’est le contribuable qui va payer, encore une fois !
> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
20 octobre 2012, par Rêveur des villes
EP : "Pendant ce temps là, on tergiverse sur ce qui désenclaverait vraiment le Béarn : La Pau - Oloron, la LGV, ou un aéroport commun avec Tarbes (entre autres)"
La LGV : "on" peut réclamer ce que l’on veut, quand c’est complètement en dehors des normes de financements, ça ne se fait pas, surtout en cette période qui est partie pour durer longtemps. MdM-Pau : nécessiterait des ouvrages d’art énormes (tunnels, viaducs). A part les projets en cours de réalisation et Bx-Toulouse, les autres sont tout simplement hors course, y compris Bx-Dax !
L’aéroport commun : maintenant que les 2 ont été refaits à neufs, il va falloir attendre au moins 30 ans !
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> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" ! |
15 octobre 2012, par Rêveur des villes
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Il faut être un grand naïf pour croire à cette réouverture qui a peu de sens. (voie unique, fort % de pente, conflit de circulation entre le frêt éventuel et les trains voyageurs entre Oloron et Pau).
Rousset peut servir le même mensonge 50, 100 fois de suite, une partie de la population y croira toujours parce qu’elle espère et ne fait pas le rapport entre coût et voyageurs / frêt potentiel. Et de faire couper qqes ronces de temps à autres pour entretenir le rêve... !
Si nos édiles voulaient développer le train, ils devraient commencer par densifier l’espace autour des gares. Ce n’est pas du tout le cas. Faire de beaux discours mensongers et mettre l’argent discrètement ailleurs, dans le clientélisme.
Pis, le seul projet valable et porteur de valeur ajoutée pour le tourisme en vallée d’Aspe : une voie verte "réversible" (les rails n’étant que recouverts), n’est pas réalisée.
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> Alain Rousset, un politique "cap-bourrut" !
15 octobre 2012, par Rêveur des villes
Cela fait 5 ou 10 ans que les travaux doivent "commencer l’année prochaine" !
Enfin, un peu de décence. Qualifier de "personnalités" ces politiciens, c’est un non-sens (certes commun). Une personnalité est qqun qui fait avancer la société, avec courage, engagement moral. Ces politiciens sont plutôt à l’opposée de cela !
Un projet qui doit donc tourner autour du milliard d’euros... pour qui ? pour quoi ? On se contente de slogans et de gueules enfarinées ?
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