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> PPP : Pau existe, c’est même au pied des Pyrénées |
30 juillet 2012, par Yab
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En tout cas le Tour de France est une vitrine incroyable et vue a travers le monde entier. Je n’en avais pas conscience en vivant en France mais je m’en rends compte maintenant que je vis a l’etranger.
Si vous parlez de Pau a un etranger ca ne lui dit rien en revanche une etape du TdF, oui ! Pas sur que le GP de Pau ait la meme image !!
Avec une telle publicite, il y a forcement des retombees economiques, et pas seulement le jour de la course.
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> PPP : Pau existe, c’est même au pied des Pyrénées |
30 juillet 2012, par Daniel Sango
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Comment peut on affirmer qu’il faut subventionner le Tour de France avec pour seul justificatif chiffré une audience dans une étape ???
Un vrai politique ce BB qui ne se préoccupe pas des coûts de fonctionnement...
Combien cela coûte t il ?
Et pas seulement en subvention directe, il faut tout compter...
Voilà qui serait interessant.
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> PPP : Pau existe, c’est même au pied des Pyrénées
30 juillet 2012, par paysaa
Et combien ça rapporte globalement en PIB local ?? Il faudrait aussi tout compter.
La gestion d’une ville ou d’un état n’est pas tout à fait celle d’une épicerie ...
> PPP : Pau existe, c’est même au pied des Pyrénées
30 juillet 2012, par Maximo
Et c’est l’étape Pau - Bagnères-de-Luchon qui a amené de l’audience. Pas Pau qu’on ne vit pas. Si encore ça avait été l’arrivée !!
N’allons pas chercher trop loin. Cette étape amène du monde, de l’animation, de la consommation sur place pendant 2 jours. Voilà, c’est bien. Les justifications autres sont des contorsions d’illusionnistes. Des arguties.
Chaque papier de BB tourne autour de "c’est bon pour l’image, c’est bon pour la ville". Ce qui est une manière simpliste et borgne de voir les choses. Et fausse, en plus !
> PPP : Pau existe, c’est même au pied des Pyrénées
30 juillet 2012, par pehache
La gestion d’une ville ou d’un état n’est pas tout à fait celle d’une épicerie ...
C’est très juste : la gestion d’une épicerie est souvent beaucoup plus rigoureuse que celle d’une ville en pratique.
Un épicier n’a pas la possibilité d’augmenter les impôts pour couvrir ses dérives budgétaires, et doit donc être plus attentif sous peine de faillite.
> PPP : Pau existe, c’est même au pied des Pyrénées
30 juillet 2012, par paysaa
Ce n’était qu’une image, pehache, rien qu’une image.. Un épicier n’a pas à gérer un service public que je sache et puis ce que vous dites est faux car il peut, lui aussi, augmenter ses tarifs, pour couvrir ces dérives et certains gros épiciers ne s’en privent guère.
> PPP : Pau existe, c’est même au pied des Pyrénées
30 juillet 2012, par pehache
Augmenter ses tarifs a ses limites, qui dépendent de l’éloignement de ses concurrents potentiels. On change plus facilement d’épicerie qu’on ne déménage à cause d’impôts trop élevés.
Pour en revenir au sujet : la décision de subvention d’un évènement quelconque ne devrait se faire qu’après étude exhaustive de tous les coûts et de tous les bénéfices. Un sponsor privé qui met des billes quelque part ne procède pas autrement. Vous avez vu ce genre d’étude pour le TdF, le GP, l’Elan Béarnais..., vous ? A ce jeu je pense que le TdF ne s’en tirerait pas mal, d’ailleurs, par contre le reste...
Au sujet du TdF, un truc amusant : je suis allé le voir passer là où j’étais en vacances, vu qu’il passait à 1km. On a compté environ 600 voitures pour 200 cyclistes. Sans compter bien sûr toute la logistique qui voyage par camions entre 2 étapes, les hélicoptères de l’organisation et des TV (7 hélicos)... Le bilan carbone doit être salé !!
> PPP : Pau existe, c’est même au pied des Pyrénées
30 juillet 2012, par L’ OURS du Bois
Le bilan carbone doit être salé smiley !!
PLUS UN !! 
> PPP : Pau existe, c’est même au pied des Pyrénées
30 juillet 2012, par Oscar du Pont
"Un sponsor privé qui met des billes quelque part ne procède pas autrement."
En théorie, on dira...
En réalité , il s’agit le plus souvent de la décision du PDG en fonction de critères qui lui sont souvent assez personnels, il faut bien le reconnaitre, et qui sont ensuite justifiés par ce que les agences savent mesurer et mettre en avant, l’audience media, l’exposition de la marque, le tout ramené en frais de publicité supposés être épargnés.
Ma marque a été vue sur le Tour de France pendant 13mn sur France 2, ça vaudrait xxxxx € si je faisais de la pub à la place, un raisonnement souvent très border-line mais qui permet au patron d’avoir l’impression de ne pas avoir jeté son argent par la fenêtre.
Je préfère considérer qu’il est normal que les entreprises qui en ont les moyens, comme les collectivités, participent à l’animation de la cité, dans des limites raisonnables avec en contrepartie, une signature publique, le tout pas forcément dans une logique comptable
> PPP : Pau existe, c’est même au pied des Pyrénées
30 juillet 2012, par Oscar du Pont
"Un sponsor privé qui met des billes quelque part ne procède pas autrement."
En théorie, on dira...
En réalité , il s’agit le plus souvent de la décision du PDG en fonction de critères qui lui sont souvent assez personnels, il faut bien le reconnaitre, et qui sont ensuite justifiés par ce que les agences savent mesurer et mettre en avant, l’audience media, l’exposition de la marque, le tout ramené en frais de publicité supposés être épargnés.
Ma marque a été vue sur le Tour de France pendant 13mn sur France 2, ça vaudrait xxxxx € si je faisais de la pub à la place, un raisonnement souvent très border-line mais qui permet au patron d’avoir l’impression de ne pas avoir jeté son argent par la fenêtre.
Je préfère considérer qu’il est normal que les entreprises qui en ont les moyens, comme les collectivités, participent à l’animation de la cité, dans des limites raisonnables avec en contrepartie, une signature publique, le tout pas forcément dans une logique comptable
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