Tout d’abord, il faut se lever assez tôt, mais pas trop (l’ombre de l’aube envahit les rues). Ensuite, prendre un bon petit déjeuner. S’habiller, lacer ses chaussures, envoyer un texto à sa petite copine (qui habite chez ses parents mais dont les parents se sont levés tôt pour aller photographier la mer) en lui disant qu’on passera dans deux heures. Puis on traverse les carrefours, on oublie son rendez-vous, les parents rentrent précipitamment, poursuivis par un tsunami d’angoisse (ils ont oublié de fermer le gaz et leur fille est une grosse fainéante qui n’entend pas le téléphone sonner).
Vous rentrez chez vous. Vous regardez les images que vous avez prises. Bon, d’accord, elles sont un peu tordues. Mais comme vous l’êtes aussi, vous invitez votre petite copine à venir prendre le thé chez vous, vers dix sept heures. Comme elle vous aime bien, elle ne viendra pas.
C’est beau, une ville endormie, comme une fille assoupie qu’on attend des heures au coin de la rue !
il n’est pas si "potron minet"
pas un chat, pas une souris
la chaleur accablante règne sur la ville
c’est l’heure de la sieste !!!
> Arpenteurs sans limites n°106 : Silence complet au coin des rues paloises (acte 2) !
18 avril 2011, par claudiqus
Et que l’on soit ours ou pas ours, le kluck, c’est sacré, en béarn !
> Arpenteurs sans limites n°106 : Silence complet au coin des rues paloises (acte 2) !
18 avril 2011, par AK Pô et ron et ron petit Patapon
c’est l’heure de la sieste !!!
Dans Arpenteurs n°107, vous ne la ferez pas seul, Nounours ! juste une petite semaine d’attente !